Avec « Valentina », Christophe Siebert sert l’apocalypse en tartine

Lors de la dernière chronique consacrée à un roman de l’auteur, on avait titré: « Grâce à Feminicid, Christophe Siebert trifouille les entrailles de son pays maudit ». Avec le recul, on se rend compte qu’on est des gros batards: on vous a menti. Sorti en janvier dernier, Valentina, nouvel opus de son cycle de Dark SF est LA véritable plongée dans la carcasse abimée de son pays mal en point.