Sérotonine de Michel Houellebecq : de l’art de piéger un filet garni

Quoi de plus cohérent au fond que la lecture des 347 pages du dernier opus de l’antimoderne préféré des Français comme un plaidoyer sans concessions, satisfaisant quoiqu’assez prévisible, écœurant à l’occasion mais parfois jouissif et semblable au contenu des copieux filets garnis que l’on gagnait dans les foires d’antan ?