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Ty Segall : le discorama

Sans raison particulière, à part un léger mal de dos qui m’oblige à rester allongé dans mon lit, voici un passage en revue de la discographie d’un artiste prolifique au point de frôler l’indigestion musicale. Est-ce que tout ce qu’enregistre Ty doit forcément sortir de son disque dur ? Après la lecture de cet article, on devrait pouvoir répondre à la question.
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Non, Mikal Cronin n’est pas juste un mec dans le backing-band de Ty Segall

Il y a dix ans, deux potes de lycée de Laguna Beach sortaient Reverse Shark Attack, un des manifestes lo-fi surfo-crado qui ont pavé la route du néo-garage made in Californie si populaire aujourd’hui. L’un d’eux s’appelait Ty Segall. Aux côtés du mentor John « Thee Oh Sees » Dwyer, le géant blond est devenu le prolifique chef de file de cette scène garage-punk-pop (et plus si affinités) que l’on connaît, sortant plus de concept-albums en l’espace de quelques années que Rush dans toute sa carrière, trimballant son bleu de travail rapiécé sur les scènes du monde entier devant des foules en délire et enchaînant les side-projects – Fuzz, GØGGS, etc. – qui se transforment en or.
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