Jacques Sirgent, chasseur de vampires du 93

Jacques Sirgent est un freak comme on les aime : ancien professeur spécialisé dans la littérature gothique anglo-saxonne, il a tout lâché il y a une quinzaine d’années pour ouvrir un très underground musée des vampires et des monstres de l’imaginaire dans son pavillon de banlieue aux Lilas, dans le 93. Et devenir l’unique vampirologue de France.  
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À travers les Burning Heads, c’est toute l’histoire de l’underground français qui se dessine

Guillaume Gwardeath et Sam Guillerand signent une biographie illustrée et lourde comme un kettlebell de l’armée russe d’un des groupes les plus emblématiques de la scène française. Même si vous n’êtes pas monté sur un skateboard depuis le dernier septennat de Mitterrand et que vous préférez les Talking Heads aux Burning Heads, ça devrait quand même vous parler.
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Rest In Gale revient et n’est toujours pas prêt à respecter les distances de sécurité

En pleine déconfiture générale, alors que les contours du foutur sont aussi flous que ce pauvre Robin Williams dans Harry dans tous ses états et que le marathon des festivals de l’été devrait davantage s’apparenter à un sprint concentrique d’ultra proximité pour carencés en vitamine D qu’à la déglingue en Birkenstock habituelle, Rest In Gale a eu la bonne idée de clipper Crystal Harvest. Un titre sur le thème de « la fête obscure », issu de l’EP God Bless Jacob 2.
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Non, Mikal Cronin n’est pas juste un mec dans le backing-band de Ty Segall

Il y a dix ans, deux potes de lycée de Laguna Beach sortaient Reverse Shark Attack, un des manifestes lo-fi surfo-crado qui ont pavé la route du néo-garage made in Californie si populaire aujourd’hui. L’un d’eux s’appelait Ty Segall. Aux côtés du mentor John « Thee Oh Sees » Dwyer, le géant blond est devenu le prolifique chef de file de cette scène garage-punk-pop (et plus si affinités) que l’on connaît, sortant plus de concept-albums en l’espace de quelques années que Rush dans toute sa carrière, trimballant son bleu de travail rapiécé sur les scènes du monde entier devant des foules en délire et enchaînant les side-projects – Fuzz, GØGGS, etc. – qui se transforment en or.
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