C’est une question qu’aurait pu poser David Aiguillon, de Fenioux, s’il était un peu moins obsédé par le ballon rond : qu’est-elle devenue, Daria Morgendorffer, en 2016 ? La trentaine passée depuis longtemps, a-t-elle
En mettant du sel dans son café, Gilles a voulu faire une bonne blague à son collègue Didier. Didier était un peu fatigué et en plus il préparait sa réunion, il a
I love advertising because I love lying. J’ai 52 ans. On va dire que je m’appelle Don Draper (haha) et que je bosse depuis 25 ans pour Sterling Cooper (je suis super
Les années 2000 ont marqué l’âge d’or des séries télévisées et nous prions que pour que cet âge d’or ne connaisse pas de fin. Les séries sont d’ailleurs de moins en moins
Vous ne le connaissez peut-être pas et pourtant, Charlie Brooker est aujourd’hui derrière ce qui se fait de mieux à la télévision britannique. Journaliste, humoriste, scénariste et producteur, cet homme est à
Toutes les semaines, la Gaîté Lyrique et Gonzaï vous proposent le double G, soit l'association de deux lettres au service d'une même cause : la découverte des plaisirs enfouis, entre un accent
Après une tentative ratée d’émission plateau, Action Discrète se retrouve goutte d’eau dans la programmation croque-mort de Canal Plus, en plein dimanche après-midi. Mais cela n'empêche pas la bande à Tohen d’aller
L’été gagne du terrain, avec ses suées et ses chemises qui collent. À contre-courant, les chaînes câblées américaines débarquent deux séries givrées. Décryptage de l’automne pluvieux de The Killing (AMC) et de
Qu’on soit spectateur ou présentateur à la mode, la télévision est un miroir déformant. Un rouleau compresseur dans lequel les images s’empilent si vite qu’on oublie rapidement ceux qui ont voulu pirater
Pourquoi Arte reprogramme-t-elle Twin Peaks, vingt ans après sa première diffusion ? Sans doute, comme l'a établi le malicieux Pacôme Thiellement, parce qu'avec la multiplicité des intrigues et thématiques qu'elle entrelace, la série rêvée
J’ai connu Alain Carrazé très jeune, en buvant ses discours passionnés dans son émission devenue culte, Destination séries, sur Canal Jimmy. Il était alors le seul en France à défendre la série,
Dans la grande lignée des débilités congénitales pour ados ricains, la série Eastbound & Down met un gros fist au politiquement correct pendant que l’on jubile face à la beauferie intersidérale et
Des vannes sur Nick Kent et les parigots. En marchant avec Antoine, tout sourire ultrabrite et blagues potaches (vas-y que je me cache derrière un poteau), j’admirais l’intégrité du bonhomme. Vieux-beau classe
Du polar preum’s en physique-chimie au graphiste à crête de Paris IV, l’image du geek s’est polie. Le nerd arrête le développement en local et s’émancipe sur Facebook. C’est cool. Mais là
Tout le monde s’enflamme à nouveau, progressivement, comme au temps de Pas vu pas pris : la presse, les chroniqueurs officiels de la grande lucarne et des ondes mainstream. Il faut dire
Home Box-Office : au-delà des salles obscures, offrir le 7ème art à portée de télécommande pour perpétuer la gloire d’Hollywood. Il suffisait juste de transformer le bon vieux feuilleton en long métrage.
Si les américains ont largement squatté les petits écrans européens cette saison avec leurs mastodontes (Lost, Dexter, Desperate Housewifes, Flashforward, Heroes…), le Royaume-Uni a résisté à la déferlante avec une petite série
A peine remis de sa coupe du monde, achevée ces derniers jours dans un délire de tapas et de coupes mulets en l’honneur du vainqueur, Denis Brogniart reçoit un texto l’enjoignant d’enfiler