Pourquoi le « Banananas » de Rubin Steiner est le disque parfait pour l’été

Grand habitué des échappées belles depuis l’invention de l’ADSL, Rubin Steiner revient au cœur d’un été caniculaire avec un album récréatif à écouter comme un entre-deux discographique où l’exotica planante concoctée au shaker avec The Dictaphone devrait redonner des couleurs à celles et ceux que la plage et les culs mal bronzés dépriment au point de rêver boire des cocktails en open space en écoutant Les Baxter. 
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Rubin Steiner craque le tuto fond vert pour son clip de « RAGA »

Si vous lisez régulièrement Gonzaï, il ne vous aura pas échappé que notre haine des clips de faux riches réalisés par le cousin maçon freelance du chanteur sans avenir est à peu près égale à l’amour qu’on porte historiquement à Rubin Steiner et ses bricolages. Cette fois-ci, le « James Murphy français » (un vrai raccourci journalistique de connard, si vous voulez notre avis) a regardé tous les épisodes de C’est pas sorcier pour pondre lui-même le clip de l’un des morceaux de son dernier album studio. Et le résultat est évidemment aux antipodes de toutes les images montées pour rien par la concurrence. 
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Rubin Steiner ne sera jamais James Murphy, et c’est tant mieux

Au moment de revisiter sa carrière à la décolleuse à papier peint, il se pourrait bien qu’on découvre chez Rubin Steiner assez de couches différentes pour plus trop savoir de quelle couleur était le mur porteur. Loin des solutions toutes faites, en évacuant l’idée même d’une cohérence artistique qui a tué plus d’un artiste éphémère, il livre aujourd’hui avec « Say hello to the dawn of paradox » un album où le titre à rallonge est porté par un invariable sens du rythme.
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FUNKEN
« Michel »

Sérieux : on connait tous un Michel. Ce mec un peu banal avec un peu d’embonpoint mais pas trop non plus, le genre de type qui écoute Coldplay et considère Tarantino comme un grand réalisateur. Ce qui est certain, c’est que les Michel sont gentils, mais pas trop non plus. En fait ça dépend lesquels. En tout cas, pour en arriver là, celui du groupe Funken devait être vraiment super sympa.
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EGO TWISTER
Histoire d’un cordonnier mal chaussé

Planqué à Angers où, réfugié derrière ses machines, il imagine un futur sans guitares ni carte de visite, Yan Hart-Lemonnier façonne depuis dix ans déjà un petit label nommé Ego Twister, une « majorette » comme on dit dans le milieu, une maison de disques sans sou d’où sortent plusieurs fois par an des artistes dont personne – ou presque – ne parle. Au fur et à mesure que l’histoire s’écrit, elle s’évapore aussitôt. La faute à qui, la faute à quoi ? Certainement pas à l’ambition de son fondateur, et encore moins à ses artistes. Dans leur petit coin, ces modestes artisans composent leurs musiques en silence, et plus paradoxalement encore, sans ego.
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GONZAÏ VIII [REPORT]
La discipline dans l’anarchie

Entre« Gonzaï c’est plus ce que c’était » et « Je fais plus du tout confiance à votre magazine », le reportage vidéo de la huitième édition de nos palpitantes soirées s’annonçait cinglant comme un coup porté dans nos saintes parties génitales. Au final, une soirée sans encombres ni insultes, avec un point Godwin atteint avec Barry White planant en ombre chinoise sur cette soirée synthétique…
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ROCK CRITIC
A monkey business

Au départ, c’est l’histoire d’un type qui fait craquer ses dix doigts pour égayer son dimanche. Ça pourrait parler de jardinage, de modélisme ou d’une visite cordiale à votre mamie qui crève lentement à l’hospice. Mais non, c’est juste l’histoire d’un type qui s’apprête à écrire un papier de plus pour tenter de se faire mousser à la cafet’ le lundi matin. Au départ, donc, c’est juste un hobby ambitieux mais sans prétention. Mais un commentaire vient foutre le bordel dans le coffre à jouets…
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RUBIN STEINER
Discipline in Anarchy

Faire danser malin, ça n’est pas à la portée du premier idiot venu. Encore moins s’il est français. Heureusement, il y a Rubin Steiner. Parce que la french qui ne touch plus grand monde, ça commence à bien faire. Son nouvel album, qui sort à la rentrée, devrait servir de parfait antidote aux programmations de plus en plus consanguines des festivals estivaux.
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