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Une interview censurée avec Tess Parks

DICLAIMER : à la suite d’échanges surréalistes avec Tess Parks sur le contenu de l’interview que vous auriez dû lire en dessous, et où il était question de « supprimer immédiatement » des propos prononcés par l’artiste mais que celle-ci n’assumait plus, nous avons préféré censurer l’ensemble de l’interview avec des pokemon géants plutôt que de recevoir, dixit, « une lettre de son avocat ». Nous souhaitons néanmoins le meilleur à Tess Parks lors de sa prochaine évolution qui lui permettra d’affronter Bulbizarre lors d’une compétition visant à élire l’artiste le plus relou de 2019.
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THE BLUE ANGEL LOUNGE
A sea of trees

La boucle est bouclée. L’allemande Nico donna ses premiers concerts au Blue Angel Lounge. Lou Reed le new-yorkais a écrit « Berlin ». Des décennies plus tard un groupe allemand qui rêve de New York choisit le nom The Blue Angel Lounge, liant les époques à l’instar de leurs congénères texans The Black Angels. Sortez vos feuilles on commence le cours de géographie.
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ANTON NEWCOMBE
Les drôles d’oiseaux se cachent pour murir

Si les disques du Brian Jonestown Massacre se succèdent désormais sans surprise, on est toujours aussi étonné qu’Anton Newcombe soit encore en état de composer. Pour « Révélation », dernier disque en date, le grand miracle se situe donc au niveau des ressources humaines : sevré, traité et officiellement guéri, Anton Newcombe serait devenu un type normal. Mais à quoi ressemble la normalité quand on a ingéré l’équivalent en drogues du PIB du Soudan en 25 ans de carrière ? Sacrée paire de manches, qu’on s’apprête d’ailleurs à relever avec le principal intéressé.
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LES BIG BYRD
They Worshipped Cats

Il est des CD, des vinyles, des bouquins ou des gus que l’on choisit uniquement pour leurs jaquettes, pochettes, premières de couverture ou mines avantageuses. « They Worshipped Cats », ou le bébé du groupe Les Big Byrd, est numéro 1 dans cette catégorie. Contrôlant de son œil bionique les quelques soucoupes qui viennent compléter le tableau, Jésus semble nous indiquer que l’écoute de ce disque en vaut la chandelle… Allumons donc un cierge.
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THE BRIAN JONESTOWN MASSACRE
Revelation

Comme avec toute la discographie du Brian Jonestown Massacre, « Revelation » fait partie de ces disques que je n’attendais pas forcément pour la simple et bonne raison que je ne savais pas vraiment qu’il sortait, mais dont je crève d’envie, une fois la première écoute passée, d’acquérir pour ma collection. Et comme à chaque fois, le disque tournera en boucle sur ma platine et un beau jour je serai obligé d’utiliser une lampe torche pour voir correctement ses sillons.
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WARLOCKS [INTERVIEW]
Sous le soleil de Satan

Que retenir du rock déviant des années 2000 ? A cette grande question, certains ont oublié de répondre et ont préféré acheter des piscines, comme leurs disques, gonflables. Bobby Hecksher et les Warlocks, tout au long de cette même décennie, nous ont envoyé des albums timbrés, des disques malades, des bulletins de santé qui ont sans doute même inquiété son compagnon de déroute, Anton Newcombe. La dernière déflagration en date, « Skull Worship » indique une légère amélioration pour le patient Hecksher. D’ailleurs quand on lui demande où sont enfermés les vrais fous, son disque parle pour lui : « à l’extérieur ! ».
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ROCKANDYS, BLUE ANGEL LOUNGE
The Anton Newcombe connection

Double critique pour une pulsion monomaniaque. Les Rockandys sont de Grenoble, le Blue Angel Lounge de Berlin. Leurs points communs ? Le psychédélique et Anton Newcombe. « Encore ? » oui, encore. D’un coté un LP, de l’autre un EP. Aucun des deux disques qui vont suivre ne sera estampillé « Album de l’année », ce qui ne signifie pas pour autant qu’ils ne sont pas bons. Bien au contraire
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THEE OH SEES
Putrifiers II

Dès réception du disque, dont la pochette est moins laide qu’à l’accoutumée, on se sent heureux d’avoir un nouveau Thee Oh Sees à se mettre sous l’oreille. Mi-drone, mi-garage, et avec des notions évidentes de bon goût – ce qu’on cherche tous dans un disque, en somme – « Putrifiers II » est moins garage que le précédent, penchant davantage vers le psyché.
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BRIAN JONESTOWN MASSACRE
Le mime Morrison

Il faudrait une certaine abnégation pour chroniquer chaque sortie du Brian Jonestown Massacre, 13 albums en 13 ans et toujours le même, ou presque. Entre temps nous avons fondé des familles, acheté un frigidaire et pour les plus chanceux un pavillon dans les Yvelines (sacrés veinards) ; tandis que lui, Anton, toujours là, a frappé son tambourin sur le quai de la gare. Toujours pas mort, toujours aussi perché. Pas très haut néanmoins. Et celui qui n’est pas venu avec sa bassine de drogue risque d’être vite largué.
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THE BRIAN JONESTOWN MASSACRE
Le murmure de Berlin

Anton Newcombe, figure emblématique du Brian Jonestown Massacre, a accordé une interview à Gonzaï pour la sortie de son dernier album, « Aufheben ». Cette fois-ci, nous avons droit à une entrevue simple avec un personnage apaisé, sympa et loquace, au cours de laquelle on parle de musique, de fin du monde et de liberté artistique, reléguant « DiG! » à un simple fantasme.
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THE BRIAN JONESTOWN MASSACRE
The Singles Collection (1992-2011)

Coucou, le revoilou. Après avoir sniffé toutes sortes de farines trafiquées et reluquer le derrière de deux générations de groupies aux organes dilatées, Anton Newcombe refait surface avec un album souvenir qui résume deux décennies de montagnes rustres. Que dire, hormis le fait que cette collection de singles reste mille fois plus passionnante qu’une anthologie de Mogwai ?
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