Aujourd'hui : 13 janvier 2025
7 octobre 2019

L’Épée racontée par L’Épée

Please go to your Post editor » Post Settings » Post Formats tab below your editor to enter video URL.

Un par un, les membres de L’Épée expliquent à Gonzaï la genèse du projet, leurs relations et leurs envies de faire un disque annoncé comme sauvage. Séquence « entretiens individuels » pour tout comprendre.

Les « supergroupes » sont rarement une bonne idée. Et pour ce projet qui réunit l’actrice Emmanuelle Seigner, Anton Newcombe (The Brian Jonestown Massacre) et les Limiñanas, le constat est à peu de choses près similaire. Si les bonnes intentions sont là (ils racontent tous qu’ils s’entendent bien et là-dessus, on sent que cette bonne ambiance n’est pas forcée), le disque peine à convaincre dans sa globalité. Il y a certes quelques beaux moments (Lou, Ghost Rider, Last Picture Show), mais ils sont atténués par ceux qui manquent (malgré leurs envies d’éviter les productions lisses) d’envergure, de peps et de vivacité (Springfield 61, Dreams, Grande). Tout cela n’a pas empêché les membres de l’Epée de fendre l’armure, le temps d’une interview.

L’album « Diabolique » de L’Épée est sorti le 6 septembre.

12 Comments Laisser un commentaire

  1. L’épée…
    Décidément on ne peut pas y échapper .

    « Si les bonnes intentions sont là »,
    ben justement le Velvet ou les Stooges n’en avait pas de bonnes intentions et c’est peut être pour ça qu’on les écoute encore.

  2. épaisse vous dites epèsse ? qui dit çà, qui que vous soyez!… assumez vos ammmusemments….

Laisser un commentaire

Your email address will not be published.

partages
Aller enHaut

A ne pas rater

Une interview censurée avec Tess Parks

DICLAIMER : à la suite d'échanges surréalistes avec Tess Parks

Anton Newcombe s’inscruste chez les Liminanas

On ne les arrête plus : « Malamore » à peine refroidi, Marie

The Brian Jonestown Massacre ou la formidable odyssée vers l’album de trop

Personne n’a jamais vraiment su ce qui se tramait dans