Numéro de l’automne 2021 de Gonzaï, avec un magazine spécial… magazines : plus de 140 pages en vortex pour tout comprendre à la presse culturelle encore en kiosque, et à l’histoire des fanzines et de la free press.
Numéro été 2020 de Gonzaï, spécial images : plus de 140 pages graphiques pour lire sur les plages avec la marque de bronzage au niveau des rétines. (livraison fin juillet 2020, frais de port compris)
Enfin une bonne nouvelle pour le 2020 : le premier numéro de la décennie pour Gonzaï, consacré à l’Australie qui fait de la résistance culturelle. Musique, cinéma, freak, tout tout tout vous saurez tout sur les kangourous. Couverture par Freak City, frais de port compris dans le prix de vente.
Rachid Taha n’a jamais rien fait comme tout le monde. Boudé par les radios, censuré pour d’obscures manipulations politiciennes, compagnon de jeu de Mick Jones, il nous ouvrait en 2013 les…
24 heures hors-bord « Cette photo a été prise par Zen Lefort aux 24h Motonautique de Rouen. C’est une course de vitesse et d’endurance qui voit s’affronter les Formule 1 de…
Si j’ai fait le choix d’écrire sur la pop culture, c’est parce que j’aime les disques des groupes Anthrax ou A-Ha, mais aussi, comme beaucoup de mes confrères, j’ai été…
Vous n’imaginez pas le temps qu’il faut chaque année pour écrire ces lignes. Non pas que le fait de tout remettre en question soit une corvée, ni que se mettre…
Si vous nous lisez sur papier depuis plus de trois ans, il ne vous aura pas échappé que nous ne sommes pas de grands professionnels du marketing. Le papier que…
A l’occasion du passage prochain de Gonzaï en kiosque, (re)lisez ce papier publié dans le n°1 (tirage épuisé) et exceptionnelle offert par la rédaction avant de vous (ré)abonner à…
Avant de raconter l’histoire de ce fanzine de jazz devenu au fil du temps la bible des musiques singulières et prescriptrices, peut-être devrions-nous tordre le cou aux émois parfois emprunts…
Pour fêter la première année d’existence de son magazine, Gonzaï monte la barre d’un cran avec une dernière campagne de précommande nommée « Do or die ». Le principe ? Proposer un seul abonnement pour toute l’année 2014 avec à la clef les 5 prochains numéros à paraître. Comme dirait l’autre, get rich or die tryin. Sauf que chez Gonzaï, les 50 cent se sont transformés en 20.000 € d’abonnements à collecter avant le 20 décembre.
Fin septembre paraitra le quatrième numéro de ton magazine préféré – et si ce n’est pas le cas que ton corps brûle en enfer avec les tonnes de journaux que tu n’as jamais lu. Pour fêter cet été très indien, on remet le couvert sur Ulule pour t’inciter à précommander d’office ce nouveau numéro que tu pourras revendre à prix d’or sur eBay dans dix ans. Mais d’ici là, abonne toi, car personne ne le fera pour toi.
Albert Londres disait que « le métier du journaliste n’est pas de faire plaisir, pas plus de faire du tort, mais de porter la plume dans la plaie ». Tout ça c’est bien beau, mais à force de citer dans les écoles de journalisme cet homme qui n’a pas connu Twitter, on finit par en oublier que le journalisme c’est aussi des faits, des freaks et du fun. Comme on n’avait plus de mercurochrome mais encore assez d’énergie pour vous surprendre, on vous a concocté un deuxième numéro à commander dès maintenant. Tout le monde se lève pour Gonzaï ?
Marre de bouffer des scoops rassis à la pause dej’ ? Ras le bol des états d’âme en 160 caractères par le premier clampin venu sur le clip de Bowie ou la perte de poids de Loana ? Si toi aussi tu est gavé comme une oie par les copiés-collés qui ont transformé le web en hypermarché de l’info consensuelle, Bilboquet Magazine est le site à prescrire d’urgence. Portés par une envie de désinformation salutaire, eux préconisent la détox par l’intox. Et ça fait un bien, complètement fou.
Espérer près de 2500 € d’abonnements des lecteurs d’ici demain soir, voilà l’incroyable pari auquel nous sommes aujourd’hui confrontés, puisqu’il ne reste même pas 48 H avant la fin des précommandes sur Ulule. Ça ressemblerait presque à un remake de « Die Hard » mais non, c’est juste le prix à payer pour garder son indépendance.
« C’est con, on va pas avoir Lass (ana Diarra, ndlr) à cause de Bigard ! ». Rédaction de So Foot, dans l’après-midi du 18 novembre. Entre un coin lounge (canapés, écran plat et PS3), un baby foot et des murs décorés vert gazon et vinyles, une partie de la rédaction s’affaire, à l’ombre des néons assassins. Est-ce pour ça que l’un d’eux porte des lunettes de soleil?