24 heures hors-bord
« Cette photo a été prise par Zen Lefort aux 24h Motonautique de Rouen. C’est une course de vitesse et d’endurance qui voit s’affronter les Formule 1 de la navigation. Des hors-bords qui fendent la Seine à plus de 200 km/h. Dans les années 80, l’événement a été pris en main par Thierry Sabine, le créateur du Paris-Dakar. Il a invité ses amis du show business à y assister et à y participer, Michel Fugain ou le cascadeur Rémy Julienne, par exemple. On s’est intéressé à ces années fastes qu’a vécu la course. »
Mascotte heroes
« Avec le photographe Guillaume Blot, on a voulu savoir qui étaient les personnes qui se cachaient derrière les mascottes des équipes sportives. Les délais étaient serrés : on avait une journée. On est parti de Paris un matin direction la patinoire de Cergy. Puis on a foncé sur Grenoble pour rencontrer la mascotte d’une équipe de roller derby. En fin de soirée, on est arrivé à temps pour assister à un match de handball à Chambéry. A 4 heure du matin, on était de retour sur la capitale« .
Gros format
« Les silures sont les plus grands poissons d’eau douce donc forcément, ils fascinent, génèrent des légendes urbaines. Dévorent-ils vraiment des pigeons ? De petits veaux ? Des bébés ? On a demandé à nos meilleurs éléments de faire la part entre mythes et réalités : le photographe Paul Arnaud et le journaliste Victor Branquart. Ce dernier a trouvé des jeunes pêcheurs de 20 ans connectés et bien dans leurs baskets. Ce qui dépoussière un peu l’image des pêcheurs. C’est le grand format de ce numéro« .
Brooklille
« Ça fait quelques temps qu’on souhaitait assister à la grande braderie de Lille. Comme le festival de Cannes, c’est une institution nationale. Mais un an après son annulation pour des « raisons de sécurité », elle avait perdu de son ampleur, comme nous l’ont expliqué les habitués. Ça n’a pas empêché la photographe Louise Desnos de capturer de cool portraits et natures mortes. Celle-ci n’a pas été publié dans la revue d’ailleurs, c’est une exclusivité« .
Avec une poignée de sciure
« Les combats de lutte bretonne se tiennent dans la sciure de bois, ce qui rend ce sport régional particulièrement photogénique. Une autre spécificité, c’est que le vainqueur du tournoi se voit remettre un bélier, on dit « maout » en breton, en guise de trophée. Yves Drillet l’a photographié pendant qu’il effectuait son tour d’honneur« .
Le cinquième numéro de Hobbies est disponible chez tous les bons gros dealers de passe-temps, en librairie et sur le site officiel.
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