Albert Londres disait que « le métier du journaliste n’est pas de faire plaisir, pas plus de faire du tort, mais de porter la plume dans la plaie ». Tout ça c’est bien beau, mais à force de citer dans les écoles de journalisme cet homme qui n’a pas connu Twitter, on finit par en oublier que le journalisme c’est aussi des faits, des freaks et du fun. Comme on n’avait plus de mercurochrome mais encore assez d’énergie pour vous surprendre, on vous a concocté un deuxième numéro à commander dès maintenant. Tout le monde se lève pour Gonzaï ?

Si vous étiez déjà né voilà trois mois, il ne vous aura sans doute pas échappé que le bouclage du deuxième numéro de Gonzaï magazine fut plus douloureux qu’une égratignure soignée au fer à repasser. En imposant un nouveau mode de distribution – se passer du kiosque à journaux – et un achat du magazine en précommande via Ulule, il faut bien avouer qu’on n’a pas choisi la facilité. Mais enfin, et comme cela fut répété maintes et maintes fois, lancer un magazine n’a jamais été une sinécure, aujourd’hui pas plus qu’hier. Et cela rend l’accouchement de ce numéro deux encore plus jouissif, et pas seulement parce que la carte des menus nous semble encore plus alléchante que celle du premier.

kiosque-Square
Au programme, donc ! Un grand dossier musical consacré à la beauté du geste et aux artisans qui, « retour du vinyle » mis à part, continue de résister à l’envahisseur industriel, avec notamment un long témoignage de Geoff Barrow sur la création de son label Invada, mais aussi un monumental reportage sur le label anglais Ace Records. Quelques pages avant, vous pourrez vous poiler avec les Infos du monde rédigées par le collectif Bilboquet, mais aussi suivre une journée type de Jean-Louis Costes dans notre bientôt mythique rubrique 24H avec, sans oublier nos énigmes de la pop culture où vous apprendrez tout sur Bobby Beausoleil et les raisons de la coupe de cheveux merdique de Jack White. Entre un long voyage au bout de la chair dans les bas fonds de New York et une rencontre avec le fondateur de Mad Movies, la folle histoire du groupe italien Chrisma, mais aussi l’histoire pipeautée de Jean-Pierre Dupire. Puis pour finir notre rubrique A Rebours consacrée aux frères maudits de la pop, d’André et Henri Salvador à Charles et Robert Crumb. En bref, 100 pages de contre-culture avec des fausses pubs qui font le bruit d’un Sumo tentant le saut de l’ange.

Si vous avez passé les deux derniers mois séquestré par Christophe Barbier dans son bureau pour d’interminables séances de monologues et que, bref, vous avez raté la campagne de précommandes du numéro 2, il est encore temps de vous dégourdir les poignets en cliquant sur l’icône Paypal ci-dessous pour commander le numéro, qui partira dès réception du paiement dans votre boite aux lettres. Merci de noter que comme on fait tout sur ce put*** de magazine, on fait les plis, on colle les étiquettes et on vous envoie ça avec tout notre amour (et parfois un peu d’Anthrax aussi, faites gaffe). Re-bref, Gonzaï magazine coute 7 € frais de port compris. Si comme les premiers fans du Velvet Underground (ça marche aussi pour les Charlots) vous désirez faire parti des chanceux pouvant affirmer, dans 10 ou 20 ans, qu’ils étaient là au moment du BIG BANG, do the right thing !

OPTION  1 (PAIEMENT DIRECT PAR PAYPAL) : cliquez sur le bouton ci-dessous pour acheter immédiatement le deuxième numéro au prix de 7 € frais de port compris (uniquement valable pour la France métropolitaine et la Belgique). Livraison sous 1 semaine à compter du règlement. Si vous habitez à l’étranger (c’est 15 € frais de port compris, bah oui l’étranger c’est plus loin), contactez-nous via desk@gonzai.com.

Paypal copie

 


OPTION  2 (ABONNEMENT PAR CHÈQUE) : abonnez-vous en nous envoyant directement un chèque à l’ordre de GONZAÏ MEDIA, en souscrivant à l’un des deux forfaits proposés : 7 € pour un numéro ou 21 € pour un abonnement semestriel (3 prochains numéros). Renvoyez-nous le chèque à Gonzaï, 9 villa de Guelma 75018 Paris. Dès réception du chèque, le numéro 2 part chez vous avec un cordial bisou à l’intérieur.

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