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THE SAINTS, T.I.T.S. ET COUSINS
Le 19 septembre à la Maroquinerie

« Le rock dans les années 70 a été changé par trois groupes : les Sex Pistols, les Ramones et The Saints » dixit Bob Geldof. Les premiers sont liquidés depuis perpète, les seconds sont maintenant tous morts, quant aux troisièmes… ils seront le 19 septembre à la Maroquinerie pour fêter leur 40 ans de carrière sur notre soirée Gonzaï de rentrée.
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LUCIO BATTISTI
Rock’ n’ Roll Anima

On associe souvent la musique italienne à la variété napolitaine et Zucchero, ce qui est bien dommage car elle vaut bien mieux que cela, même si le Bassin méditerranéen et le rock, ça fait deux a priori. Par exemple, je serais infoutu de vous citer trois bons disques espagnols – l’évocation de compilations « Café del Mar » ternirait ma réputation –, turcs ou portugais. Mais sachez que ça vaut pourtant le coup de franchir le Grand-Saint-Bernard et d’aller farfouiller dans les discothèques de nos cousins gominés à chemises en soie.
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SAINT DES SYNTHS (1/5)
Patrick Cowley

Souvent méprisé pour son obsession d’un futur digital réinventé sur trois octaves, le synthéman est cet homme courageux qui a escaladé les 70’s par son versant le plus abrupt : exit la facilité des vieilles guitares rock, bonjour à la révolution des claviers. Durant tout l’été, la série ‘’Saint des synths’’ vous propose de (re)découvrir le parcours étrange de ces Clayderman discoïdes capables de faire danser le tétraplégique branché sur 220V. Aujourd’hui, hommage à Patrick Crowley, producteur méconnu de Sylvester qui talonne Moroder… jusqu’en 82.
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LE FUTUROSCOPE
La mélancolie de demain

Un jour, comme l’écrit Blondin, nous prendrons des trains qui partent. Ceux-ci atterriront alors certainement dans des paysages pareils à ceux d’un Futuroscope sans touristes. Des plaines d’attractions évacuées et des vallées de pavillons abandonnés. Récit d’une dérive dans le parc du présent visionnaire, en compagnie des lapins crétins, de J.G.Ballard et de Martin Solveig.
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NOIR BOY GEORGE
Metz noire pour nuit blanche

La gare de Lyon et sa chaleur écrasante vers une destination à la chaleur encore plus écrasante, gare Saint Lazare en manteau noir pour une petite virée proustienne en Normandie ; Trouville, Cabourg, les plages du débarquement. La gare du Nord encore, ses trains de banlieues chauds, ses promesses de drogue vers le nord ou Londres voir de la famille. Mais surement pas la gare de l’Est, ce vortex vers quoi d’ailleurs ? C’est grand, l’est. Ca peut nous mener loin. Vers une base militaire de RFA pour un pauvre appelé des années 90, tirant nerveusement sur sa cigarette, déambulant sur les quais déguisé en militaire. Vers un camp en Pologne. Vers Lagny, ou Meaux, toute la Seine et Marne. Histoire de gens qui s’aiment jusque dans les fourrées de sous-bois sans passants, avec la mort au bout du rendez vous d’amour. Des gens qui s’engueulent sous les caméras de confession intime. Beaucoup de cimetières militaires. Et la Grande triple Alliance Internationale de l’Est. Noir Boy George raconte.
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