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COMMENT JE N’AI PAS COUVERT LES NUITS SONORES

Chaque année pendant le week-end de l’Ascension, la ville de Lyon enlève le baobab qu’elle a dans le derche et s’ouvre aux musiques électroniques. Sur la brèche, Gonzaï voulait couvrir la douzième édition des Nuits sonores, rencontrer les artistes les plus intéressants et vous dévoiler le futur de la musique électronique en général, et du genre humain en particulier.
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TELEX REVIEW
Laurent Garnier, Donato Dozzy, Bohren und der Club of Gore, etc

« Oh, Thin White Plouc, divine créature aux goûts si sûrs, dis-nous ce que tu écoutes en ce moment et nos vies n’en seront que plus belles… ». Voici en substance ce qui revient dans les courriers que je reçois de mes fidèles lecteurs. Comme je ne suis pas chien, je vais consentir à vous dévoiler ce qui passe sur ma platine ces temps-ci, et contribue donc à faire de ma vie une œuvre d’art.
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DANTON EEPROM [INTERVIEW]
Mister nice guy

La culture de la sape, quand on vient de Marseille, c’est important. Ne pas chercher plus loin les raisons du nom de ce disque par celui que les initiés appellent sobrement « mister paillette ». Mais chez Danton, la doublure intérieure ne serait-elle pas plus épaisse que ne le laisse supposer l’apparente coquille vide dopée au RedBull du gars du sud-est pratiquant la house comme d’autres la pétanque ? Petite partie de boules à facettes très loin du Massilia Sound System.
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DANTON EEPROM
Sexe machin

Devant certains disques, le chroniqueur ne peut que rendre les armes. Avec « If looks could kill », nouvel album de Danton Eeprom, c’est toute l’armurerie qui dépose le bilan, et personne pour demander la moindre compensation lors de ce licenciement merveilleusement salvateur. Au menu, 10 killer tracks, et un constat après des dizaines d’écoutes, casqué comme un Président rue du cirque : ce type est un grand malade. Un perfectionniste. Et un obsédé textuel.
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JEROME DERRADJI
The lost story of Chicago dance music

Cet article s’adresse particulièrement à ceux pour qui la musique électronique n’est pas plus intelligente qu’une stratégie d’auto-tamponneuse. La techno a été un truc punk à sa naissance. En 1980, dans les caves et dans les clubs, elle n’est pas encore « le son dancefloor » de la première radio des coiffeuses. Puisqu’ici seul le détail compte et qu’on est entre gentlemen, faisons un retour en arrière dans le Chicago des eighties avec Jerome Derradji, papa obsessionnel de « Bang The Box » et « Kill Yourself Dancing », les deux dernières compilations de raretés sorties sur le sujet.
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DARKSIDE
Le coté obscur de la pop

Darkside, c’est ce drôle de Léviathan construit de toutes pièces par le « genius among geniuses », Nicolas Jaar, et son compère guitariste de tournée, Dave Harrington. Si ce nom sorti tout droit du « côté obscur de la force » te colle un rictus, tu riras moins quand le son viendra t’attraper pour te dévorer, ni plus ni moins.
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