« Suite aux nombreux abus des journalistes les années précédentes », le service presse du festival oblige le journaliste à présenter la programmation à ses lecteurs avant le festival s’il veut bénéficier d’une accréditation gratuite, afin, sur place, de poursuivre son travail de journaliste, c’est-à-dire rencontrer les artistes et obtenir des interviews, et prendre des notes pour rapporter plus tard l’ambiance, les coups de cœur, les hauts, les bas, les aléas et les allez haut de ce moment tant attendu dans l’année d’un professionnel de la musique (« Chouette ! Je vais aller découvrir des groupes inédits et inouïs aux Trans : je n’ai pas eu accès au Web depuis l’an dernier et ne peux donc pas lire les nombreux blogs qui sont la source alternative de défrichage des groupes émergents ! »).