Un an après sa mort, Nicolas Ker ressuscité
Le 17 mai 2021, le corps de Nicolas Ker, âme d’une grande partie du rock destructeur des années 2010 et symbole à lui tout seul de la flamboyance d’une fusée s’auto-détruisant dans le ciel, s’éteignait. Un an après cette mort subite, et histoire de rappeler à l’industrie qu’on ne fera plus jamais deux chanteurs comme ça dans le même moule, le label Pan European exhume un inédit des sessions de l’album « Les faubourgs de l’exil ». Ca s’appelle La mémoire perdue à nouveau, et c’est beau comme du Jim Morrison en Bretagne.