Il était une fois Bobby Gillespie

C’est l’histoire d’un jeune Ecossais qui ressemblait au Neo de Matrix, mais qui allait croiser sur sa route Alan McGee (Creation Records), bouleverser profondément le rock britannique avec ses deux groupes, The Jesus and Mary Chain et Primal Scream et, à 59 ans, être encore assez vivant pour tout raconter dans cette interview XXL à Paris, à l’occasion de la sortie de son album « Utopian Ashes », avec Jehnny Beth.
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A 70 ans, Richard Pinhas rêve toujours sans conséquence

Alors qu’il est cette année l’invité (avec son fils, lui aussi musicien) du Sonic Protest, et que sa page Discogs n’en finit plus de s’allonger comme une cigarette se consumant à l’infini, Pinhas fête en 2021 soixante dix ans d’existence contre le monde réel, et avec encore de nouveaux projets plein la tête. Portrait d’un infatigable électron libre.
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Le grand Martin Circus

Des faits, des freaks, du fun… depuis plus de 30 ans, un homme a fait sienne cette devise au travers d’une trentaine d’ouvrages encyclopédiques jouissifs sur les incongruités de l’espèce humaine. Alors que Martin Monestier vient de s’éteindre à l’âge de 79 ans, voici le portrait écrit par Denis Roulleau, de son vivant, et paru dans le Gonzaï n°5, en janvier 2014. Histoire d’un homme qui a dormi pendant trois ans dans un cercueil siglé de ses initiales !
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Playlist : voici le top 30 des tubes ignobles les plus fantastiques de tous les temps

Un hit gagne-t-il en puissance grâce à une production de mauvais goût, façon Phil Collins, Toto, Yes ou Rod Stewart ? C’est la question posée par Benoît Sabatier dans la playlist à écouter ci-dessous, et où la majorité des titres caillassés pendant des décennies redeviendraient presque cool en 2021. A l’occasion de la sortie de notre numéro consacré à la cancel culture, voici donc 30 plaisirs abominables qu’on a voulu tuer trop vite, de Cambodia de Kim Wilde à Everybody’s Got to Learn Sometime de The Korgis.
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Yuksek : l’interview boule à facettes

Si l’on vous dit Pierre-Alexandre Busson, vous pensez à votre voisin de palier. Mais si l’on vous dit que la nuit, cet homme devient Yuksek, qu’il est à la fois musicien électronique, producteur techno, organisateur de festival et remixeur pour à peu près tout le monde (Gossip, Chassol, Burgalat, Lana Del Rey, etc), on comprend que le Rémois ne dort pas beaucoup depuis 15 ans. Alors que sort son nouveau projet et qu’il est l’auteur de la BO de la série ARTE En thérapie, Yuksek tourne sur lui-même pour cette interview à regarder comme un CV en accéléré. 
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Sonic Protest, un festival vraiment pas comme les autres

Si l’on vous dit festival, vous pensez têtes d’affiche similaires partout sur le territoire, queue interminable au stand boissons mais aussi gros silence depuis plus d’un an en raison de la Covid-19. Tout est est plus ou moins vrai, mais un village d’irréductibles Gaulois tentent depuis 2003 de démentir ce gros clichés grâce à une programmation de musiques (de) brutes tambourinées sans concessions. Alors que l’équipe du Sonic Protest a refusé de se coucher en 2021 et qu’une édition aura bien lieu (sauf fin du monde), on a été demandé des comptes aux deux têtes pensantes. 
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The Sssound of Beeertrand Burgalat

Octobre 2000 : coincé entre le succès de la French touch, la mort programmée du trip hop et de l’électronica allemande et ce qui n’est pas encore la génération Nouvelle Star, un producteur en vogue décide à 37 ans de passer de l’autre côté du miroir avec un premier album mal compris à sa sortie, et qui a pourtant poussé une grande partie de ses auditeurs à fonder des groupes, écrire sur la musique ou, simplement, à rêver d’une musique française mutante évitant autant le lire-larmes en chant de canard que les couinades faussement expérimentales pour fils de joueurs de synthé Yamaha. Vingt ans plus tard, « The Sssound of Mmmusic » est réédité par Tricatel. Et c’est l’occasion pour Burgalat de nous raconter la genèse de cet album fondamental dans une interview presque aussi longue que la cyclade électronique dont il est ici question.
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Nicolas Ker, dernière étoile filante du rock français, est mort

Pour celles et ceux qui suivaient sa carrière depuis 15 ans, c’était l’homme aux mille vies, aux milles projets, aux mille résurrections toujours un peu les mêmes et pourtant, toujours nouvelles. Pour les autres, souvent les mêmes que les premiers, Nicolas Ker attendait depuis longtemps la mort au bout du couloir. Elle est finalement arrivée ce 17 mai, l’emportant avec elle, à l’âge de 51 ans. 
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Victor Solf : l’heure après Her

Trop « indé » pour jouer dans la cour des gros, trop gros pour jouer dans la cour des « indé », coincé entre un passé qui s’agrippe (Her, dissout après la disparition de son binôme Simon) et un futur encore à dessiner, Victor Solf est cet équilibriste qui depuis 15 ans tente de donner vie à une certaine idée de la soul à la française, avec classe, retenue et refrains qu’on n’aurait pas honte de chanter seul chez soi. La sortie de son premier album, « Still. There’s Hope », est de ce point de vue une bonne manière de mettre les points sur le i, comme interview.
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Peut-on encore dire du mal des disques en 2021 ?

« Pourquoi perdre autant de temps à écrire sur des disques jugés nuls quand il en sort toutes les semaines des merveilleux ? ». C’est l’une des questions qui revient régulièrement, en sourdine, quand il est question d’un exercice en péril : la critique musicale. Décomplexée, démocratisée avec l’arrivée d’internet, elle semble désormais noyée dans la société du commentaire au point qu’on est en droit de se demander ce qu’il restera bientôt de nos avis dans cette course effrénée à la positivité qui semble avoir contaminé ce qui reste de la presse musicale, de plus en plus frileuse à exprimer le moindre jugement, positif ou négatif.
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De Rambo à Hitler, les petits secrets de Giorgio Moroder

His name is Giovanni Giorgio… et il n’a pas fait que raconter sa vie sur un titre des Daft Punk. A quoi ressemblait sa vie après la B.O. de Midnight Express et les tubes pour Donna Summer, Blondie ou encore des Sparks ? A peu près à ça : une drôle de retraite où se croiseront, tout au long des années 90, la réalisatrice attitrée d’Adolf Hitler et Sylvester Stallone. La suite est racontée dans cette vieille interview de 2016, et ressortie des cartons comme une grosse boule à facettes. 
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