ALAIN BASHUNG
Ma story (de)board
Samedi soir, on apprend la mort tant attendue. Celle qui depuis plusieurs mois ne nous lâche plus, pas plus que cette image de l’homme stoïque revenant seul aux rappels, pour jouer Angora.
AMUTE
L’indus pour tous
Au milieu des années 90 je haïssais David Bowie comme tout à chacun.
PETER VON POEHL
May day
Confidence masculine. Le blondinet avait bien caché son jeu avec
LA MECANIQUE ONDULATOIRE
« Vis ma vie de modérateur de bar »
21h53. Quartier Bastille.
Vertige de la mort
On croyait savoir : le rock, ce vieux machin, nous avait été vendu avec ses morts en cours de route, ses inaptes au bonheur longue durée, ses fonceurs dans le mur.
ELDIA
Favourite Murderer EP
Trop vite relayé en seconde division par la presse, Eldia demeure néanmoins une valeur créative de la pop frenchy.
HJALTALIN
Sleepdrunk seasons
Mettez vous une fleur dans les cheveux, on vous traitera de baba cool.
CATCH ME IF YOU CAN
savez pas c’que z’avez raté !
Depuis vendredi et samedi, et sans nul doute grâce au magnifique article qui lui était consacré sur Gonzaï
THE CROW & THE DEADLY NIGHTSHADE
La scène rock française, lecteur mon ami, c’est à peu de chose près Star Wars version miniature.
BROKEN HORIZONS
Vivons heureux en attendant la mort
U2 passe sur Canal+ et tout le monde trouve ça exceptionnel. Alain Bashung va mourir et tout le monde trouve ça télévisable.
DOSSIER
Le rock à Paris: le bruit et l’odeur
Peut-on encore faire des soirées « bruyantes » à Paris? Les salles en ont-elles encore les moyens, encore l’envie ?
J’ai vu du Rock 1.0 Samedi dernier à Nimes
aussi bons Rebels Of Tijuana, j’ai pu assister à la persistance du
showbusiness 1.0 (celui d’avant l’ère myspace) dans toute
Iggy Pop amateur de Pot au feu
en mai.
MISTER SOAP AND THE SMILING POTATOES
Hawaï
J’aime autant prévenir, c’est le premier jeune groupe parisien dont je parle sans en connaître au moins un des membres. Me voilà libre, par conséquent.
THE MAGNETIX
Positively negative
Sale comme un sexe mal lavé, nauséabond comme un camp de roumains sur le périph’ et bruyant comme un troupeau de poissonnières, le nouveau disque des Magnetix peine à être ente