Astéréotypie : rencontre du troisième type

Avec « Aucun mec ne ressemble à Brad Pitt dans la Drôme », ils ont probablement sorti le meilleur album de rock français de 2022. Mais qui se cache vraiment derrière le collectif d’Astéréotypie ? Réponse avec Claire Ottaway et Stanislas Carmont, accompagnés de Christophe L’Huillier, à l’origine du projet plus furieux qu’un film avec Brad Pitt.
Lire l'Article
Lire l'Article

Man Machine #5 : Principles of Geometry

Dans la série Man Machine, Gonzaï s’intéresse au lien étrange et magique qui unit les musiciens électroniques, souvent français, à leurs machines. Quels rapports entretiennent-ils avec ces mystérieuses joujoux en plastique ? Sont-ils fétichistes de l’objet ? Et comment sont-ils tombés dans leurs boites de Pandore ? De retour avec un nouvel album en forme d’alphabet, avec 26 titres, les Lillois de Principles of Geometry nous accueillent dans leur studio pour une séance de synthérapie.
Lire l'Article
Lire l'Article

Une interview en franglais chelou avec Nathan Roche

Connu depuis 2015 comme le leader autoproclamé du Villejuif Underground, Nathan Roche est ce poète beat australien qui, en plus de parler le français comme Jane Birkin, suit le même parcours que Kevin Ayers et Anton Newcombe. Loin de ses terres, l’Australien exilé qui a de la Kronenbourg qui coule dans ses veines vient de sortir un nouveau disque solo (A Break Away »), et il tente de nous en parler face caméra. 
Lire l'Article
Lire l'Article

« Profession : rock critic », le livre

Aujourd’hui, Gonzaï leur rend hommage avec la sortie du premier volume Profession : rock critic. Cet ouvrage donne la parole à ces french rock critics qui ont su perpétuer la tradition d’une écriture parfois acide, toujours honnête. À travers seize entretiens, Albert Potiron retrace le parcours singulier de hommes et femmes qui ont un jour eu la folle ambition de devenir des machines à écrire.
Lire l'Article
Lire l'Article

Gonzaï n°30 : spécial cyberpunk

C’est le trentième numéro de Gonzaï et la formule XXL (164 pages) est cette fois consacrée au cyberpunk, un mot valise combinant « cybernétique » et « punk » et qui englobe les univers futuristes de William Gibson, Alain Damasio ou encore Billy Idol. Le numéro est disponible en commande dès maintenant au prix de 12 €, frais de port compris en cliquant ici.
Lire l'Article
Lire l'Article

La Féline : elle voyage en solitaire

Comme Manset, mais sur un autre registre, Agnès Gayraud poursuit depuis 10 ans un chemin à rebours, loin des facilités, loin des tubes qui tuent l’artiste, loin des ondes radiophoniques – où pourtant La Féline aurait parfaitement sa place. Alors que sort « Vie Future », son troisième album chez Kwaidan, il était temps de reprendre des nouvelles de celle qui a décidé de marcher dans les pas de David Byrne, Christophe et Laurie Anderson.
Lire l'Article
Lire l'Article

Lou Rawls, le « Black Sinatra » oublié

Dans la chapelle du souffle chaud, rares sont ceux à pouvoir assurer la comparaison avec The Voice. Lou Rawls, en dépit d’un physique de pimp taillé pour les trottoirs de Brooklyn, fut l’un de ceux là. Hommages ininterrompus à Sinatra tout au long de sa carrière, voix de stentor noir et groove érotique de fin de soirée ; telles furent de 1962 à 2006 les Lou rules.
Lire l'Article
Lire l'Article

On a fêté les 40 ans du festival international de jazz de Montréal

Du 26 juin au 6 juillet 2019, près de deux millions de mélomanes et autres curieux sont venus célébrer les 40 bougies du Festival de Jazz de Montréal. Une édition en grande pompe qui a su repousser les limites de son propre registre. Du jazz, du rock’n’roll, du blues et de la pop regroupés dans les divers lieux qui jonchaient le centre de la ville. C’est parti pour la visite guidée.
Lire l'Article
Lire l'Article

Quelqu’un pourra-t-il faire fermer sa gueule aux Flaming Lips ?

Depuis presque 40 ans, Wayne Coyne aboie dans le désert des inepties premier degré tellement dingues qu’on a du mal à comprendre que tant de fans parviennent à gober sans pouffer ces métastases de bonheur saoulant. De ce point de vue, le quinzième album « King’s Mouth « prévu pour le 19 juillet confirme tout le mal qu’on pensait de ce groupe trop bien pour être honnête.
Lire l'Article
Lire l'Article

William Sheller ou l’homme qui s’en foutait

Né d’un père américain et d’une mère française, William Hand aka William Sheller tient son nom de la maman de Frankenstein, la poétesse britannique Mary Shelley. Voilà qui n’aurait pu mieux lui seoir : si le Prométhée moderne devait son existence à un assemblage morbide de cadavres putréfiés, la musique de Sheller, plus lumineuse, a toujours été une synthèse bienheureuse de ce que les deux côtés de la Manche ont de mieux à offrir.
Lire l'Article