Quand le terme rock critic est prononcé, le mélomane pense immédiatement aux grandes figures tutélaires anglo-saxonnes qui ont marqué son adolescence : Lester Bangs, Nick Kent, Nick Tosches, Peter Guralnick et bien d’autres. Tous ces noms, à travers les décennies, ont brûlé les rétines au point de motiver des adolescents français, seuls dans leurs chambres, à oser prendre la plume.

Aujourd’hui, Gonzaï leur rend hommage avec la sortie du premier volume Profession : rock critic. Cet ouvrage donne la parole à ces french rock critics qui ont su perpétuer la tradition d’une écriture parfois acide, toujours honnête. À travers seize entretiens, Albert Potiron retrace le parcours singulier de hommes et femmes qui ont un jour eu la folle ambition de devenir des machines à écrire.

 

Profession : Rock critic par Albert Potiron (288 pages, inclus photos noir et blanc. Tarif frais de port compris pour la France métropolitaine). Préface par Bertrand Burgalat. Sortie fin novembre 2019 et déjà en précommande ici

24 commentaires

  1. il manque plus que BESTER DE GONZAI et ont a la brochette complète de bicéphale consanguin pseudo critique musicale made in france . les seuls les vrai et grand critique sont absent de se livre , j’aime la plume de GILLES TORDJMAN et Florent Mazzoleni .Cerise sur le gateau : LE BOBO CORSE BURGALAT EN PREFACE .punaise c’est un grand n’importe quoi ce bouquin ,

      1. pierre et moi je t »envoie dans le dombass te faire laminé et sodomisé par les forces russses salle chien galleux

  2. Yes trop Cool! me réjouis de lire ça.
    C’est pire que sur Worldstarhiphop les comments … y zont quoi les gens ?
    C’est un rassemblement gilets jaunes ? y vous faut des chips les gars? vous avez froid sur le rond point ou quoi?

    1. mr burgalat la vieillesse est un naufrage ,c’est une immense faute de gout que d’avoir signé les infames et ultra surestimé catastrophe plutot que le nouvel album de l immense JULIEN RIBOT

  3. bien reçu, pile poil sous le sapin, en cadeau pour ma souscription à gonzai 2020.
    J’ai commencé par la fin avec Nicolas Ungemuth que j’appréciais quand je lisais Rock&Folk. Auquel j’ai jamais été abonné, faut pas déconner non plus. J’apprends que Ungemuth est aussi journaliste au Figaro !!
    ceci explique t-il cela ?
    merci pour ce bouquin, pour le n°32 et pour les prochains !

  4. Que l’immense FLORENT MAZOLENNI soit absent des 2 volumes de profession rock critique d’Alber Potiron est assez scandaleux car pour moi il fut un passeur de premier plan et ce qui ME fait encore plus rire c’est de voir la présence de critique en plastique lilliputien comme Thomas Ducres des enflure de Gonzaï ou de la nouvelle génération de pigiste à la culture musicale très parcellaire et limité comme Charline lecarpentier et consort et j’arrête ici de cité des noms car sinon la liste serais si longue tant pour moi certains pseudos critiques ne méritent pas de figuré dans l’histoire des rock critiques frenchy et encore moins dans un livre

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