A une lettre près, il aurait pu réussir sa vie, faire carrière, être heureux en amour, se faire construire un Palace avec un crédit sur 20 ans, vivre vieux. Au lieu de ça, Alain Pacadis a choisi un bonheur de Façade puis un longue descente aux enfers par un petit toboggan qui le verra passer de la rock critic aux chroniques mondaines en moins de temps qu’il ne faudra aux Sex Pistols pour se désintégrer. Chez Pacadis il y avait donc les mots et le reste ; ce que l’éditeur du même nom propose de (re)découvrir avec la réédition du livre « Itinéraire d’un dandy punk ». Très mauvais titre pour un très mauvais journaliste, l’histoire commence là.