LE FESTIVAL D’ANGOULEME VU PAR… MAADIAR (PART 1)
Maadiar est bien rentré d'Angoulême et comme prévu voici la première partie d'un compte-rendu qui s'annonce long et fouillé. On démarre les hostilités avec une analyse des tendances BD. Première salve, l'humour absurde fait son retour et il y aurait quelques albums à acheter là-dedans...
3 commentaires
Putain j’ai passé les 20 likes. Je me ressers de l’alcool. Alleï!
Comme je le redoutais, la traduction du Kupper est affreuse. En vrai c’est un des 5 meilleurs albums de BD de tous temps, mais en français ça a juste l’air rigolo.
« Les moules fourrées… » de la chute est une invention complète du traducteur, qui essaie de faire ses propres blagues absurdes. L’original est « bring me… A CLUB SANDWICH », qui est bien plus débile.
Sans faire exprès, tu as acheté un super album absurde, qui en le faisant exprès n’en est plus tellement un.
Cher lecteur de Gonzaï, Cher Monsieur Monde, Tout d’abord, merci de nous écrire. Cela dit, effectivement, beaucoup de choses ici ont été faites « sans le faire exprès » (d’ailleurs, dans la vie, plein de choses sont parfois faites « sans le faire exprès » à l’instar de la découverte de la pénicilline ou encore de l’invention de ces saloperies de calculs rénaux). Et c’est vrai, j’ai acheté cet album de « Snake and Bacon » un peu à l’arrache, sur les conseils de Bathroom Quest, le plus polis des gens de chez Glory Owl, dans une tente surchauffée. Je suis comme ça. Je suis un petit fou fou. Je regarde, je ricane, j’achète. Alors oui, merci de nous signaler ce point, que mon inculture crasse m’a fait ignorer: la traduction ne semble pas être à la hauteur de l’original, oui. Néanmoins, ça reste rigolo. J’en témoigne. La Cinquième Couche, ça passe. Mais ok, si vous lisez l’Anglois, achetez la version originale. (Je signale également que l’auteur a un compte twitter très rigolo: @MKupperman). Bonne fin de journée à vous, ami lecteur.