Les disques de la rentrée, des plus atroces aux moins pires

C’est comme un film d’horreur : une boite aux lettres vomissant des dizaines et des dizaines de plis postaux contenant des disques médiocres accompagnés de bio pas plus originales. Et quand ils ne sont pas physiques, ces albums arrivent par liens dématérialisés pour vous hanter grâce à une absence complète d’ambition d’artistique. En trois mots : c’est la rentrée. Plutôt que s’user la santé à les dépeindre un à un, nous les avons regroupé sur un terrain dégagé pour les abattre, un à un.
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TELEX REVIEW
Laurent Garnier, Donato Dozzy, Bohren und der Club of Gore, etc

« Oh, Thin White Plouc, divine créature aux goûts si sûrs, dis-nous ce que tu écoutes en ce moment et nos vies n’en seront que plus belles… ». Voici en substance ce qui revient dans les courriers que je reçois de mes fidèles lecteurs. Comme je ne suis pas chien, je vais consentir à vous dévoiler ce qui passe sur ma platine ces temps-ci, et contribue donc à faire de ma vie une œuvre d’art.
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SUMMER TELEX REVIEW
F/LOR, Deerhunter, Girls in Hawaii, Hook & the Twin

Dans l’enfer climatisé des villes-plages et sous le ventilo du salon brassant un air trop chaud, des envies de dépaysement à rebours des péages et des quais de gare peuvent se manifester. La musique adoucissant les morts vivants et les morsures d’un été réclamant son lot de kilomètres parcourus pour faire croire qu’ailleurs, les choses changent. Plongeons si vous le voulez bien dans quelques disques qui ne rempliront jamais de stades mais qui valent quand même la peine de se sortir les doigts du culte.
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TELEX REVIEW
Ménage de printemps

Il pleut des disques, c’est l’printemps. Plutôt que de s’étonner une fois de plus de l’incompréhensible paradoxe d’une industrie toujours plus grimaçante qui continue malgré tout à faire la promotion d’une armée de Mexicains plus ou moins talentueux, un passage en revue des troupes peut s’avérer marrant. Ils gratouillent des guitares, chatouillent des violons, jouent du piano debout et du synthé avec les pieds, ou sifflotent des mélodies de grange à foin et ne deviendront sûrement jamais Coldplay. Il n’empêche, eux aussi font le printemps. Et sonnent le retour du telex review.
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