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WHAT THE FUCK IS THIS SHIT ? #2
Et si Gavalda montait un groupe revival 80’s, Tarantino en ferait-il un film ?

Mes agneaux, ça me fait siiiii plaisir de vous revoir ! Ça biche pour vous ? Moi, al-hamdoulillah ça va, et ça va siiiii bien que j’ai envie de commencer comme ça : lorsqu’en 2046, les soldats de Wikipédia auront mélangé quelques fiches et que Han Solo, Mano Solo et Bruno Solo ne seront plus qu’une et seule même personne (définie ainsi : « Personnage de la fin du vingtième siècle qui braillait des chansons réalistes à une machine à café qui distribuait des coups de sabre laser en lieu et place d’un potage quatre légumes »), on ne s’en portera que mieux. D’ici là, j’ai ma chronique WFS à faire et on est en 2013 (à ce qu’il paraît).
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MOTORAMA
Soviets suprêmes

Suivant de peu l’affaire Pussy Riot où chacun s’est senti un peu russe — parfois même un peu trop — la breaking news des dernières semaines nous apprenait que l’excellent label Talitres allait distribuer à l’automne le deuxième album des cinq Slaves de Motorama. L’occasion pour Gonzaï de s’arrêter sur ce groupe qui, steppes by steppes, est en passe de réussir son passage à l’Ouest.

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ALEX ROSSI, « L’ULTIMA CANZONE »
Italians do it better

« Les Italiens le font mieux. » Ce n’est pas moi qui le dis, c’est le nom du très chic label de Chromatics, Glass Candy, Symmetry et consorts, des groupes qu’on pourrait rapidement qualifier de post-italo disco. Seul hic : le post ici serait de trop ; d’une part parce que l’italo disco est indémodable, et d’autre part parce que leur catalogue de chansons ne sonne résolument pas plus moderne que celui de leurs modèles – les bruits de craquements façon vinyle chez Chromatics ou l’obsession Carpenter en général.
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ALINE
Les danseurs se cachent pour draguer

C’était déjà l’été moite dans mon slibard, et je ne serais jamais allé à cette soirée si on ne m’avait pas mille fois confirmé qu’il y aurait des meufs et de l’alcool trop sucré. Il y avait aussi de la musique, une piste de danse, l’horoscope promettait trois soleils… à tel point que j’avais fini par oublier que le Seigneur, dans sa miséricordieuse négligence, m’avait laissé en chantier en m’abandonnant sur des jambes molles et sans souplesse. L’écoute du premier EP d’Aline n’y a rien changé : je ne sais toujours pas danser.
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