On a beaucoup raillé U2, son guitariste aussi charismatique que François Hollande à la plage et son leader trop occupé à vouloir sauver la planète. Il existe pourtant, perdu au milieu de cette usine produisant des sirènes de pompier, un disque ambient et ambitieux. Publié en 1995 sur les cendres de « Achtung Baby » et « Zooropa »,« Passengers » se laisse redécouvrir aujourd’hui avec un plaisir non dissimulé, voire carrément vicieux. Peut-être parce que, pour la première fois depuis le début de leur carrière, les Irlandais allaient laisser une autre personne prendre le volant : Brian Eno.

Elle est présente sur tous les amplis bas de gamme ; il se dit même que dans le sud de la France, dans les défilés tuning, les enceintes finissent même par saigner à cause d’elle. Elle, c’est la touche LOUDNESS ; une option également mise en série sur tous les autoradios du monde et qui donne l’impression à la confrérie des kékés-crânes-rasés méridionaux que l’infrabasse est une note pouvant couvrir toutes les autres
Si cet article débute par cette parenthèse, c’est parce que U2 semble né avec la touche LOUDNESS. Dès « War », le fin observateur aura bien compris que Bono et ses copains ne sont pas là pour poser du parquet flottant, et encore moins pour y aller mollo sur la pédale. On ne va pas vous refaire toute la discographie de U2 depuis 1980 ; vous avez grandi avec Sunday Bloody Sunday (8 sur 10 sur l’échelle de la crispation Greta Thunberg), With or Without You (9 sur 10 sur l’échelle rock FM Bon Jovi) ou encore One (11 sur 10 sur l’échelle Justin Bieber ; la légende racontant que des millions d’adolescentes ont perdu leur virginité là dessus). Pour la subtilité, on repassera.

La fin d’un triptyque

Ce qu’on sait moins, ce qu’on a fini par oublier parce que le temps qui passe à réviser toute chose, c’est que Brian Eno a non seulement produit plusieurs de ces albums qui aideront le groupe à façonner sa pyramide dans les années 80 (« The Unforgettable Fire », « The Joshua Tree »), mais a également joué sans interruption sur chacun des albums publiés en 1984 et 1995. Parfois pour des chœurs, parfois pour un tapotage de synthétiseurs. A ce stade, c’est carrément Brian Enorme, l’équivalent de Quincy Jones avec Michael Jackson, le marche-pied vers la gloire.

« On voulait devenir le backing-band de Brian Eno. »  (Bono)

Arrivé au début des années 90, U2, de par cette alliance avec un vrai cerveau, est devenu incontournable. Toute cette démesure est à l’œuvre sur « Achtung Baby », pinacle artistique du groupe encore une fois produit par celui qui a su embellir Bowie ou Talking Heads. Dans la foulée, les Irlandais s’essaient à l’extrême opposé avec « Zooropa », un disque faussement expérimental qualifié à sa sortie de « Sgt Pepper » par Bono qui, ce jour là, aurait mieux fait de fermer sa gueule. Expérimental, le disque l’est vaguement ; il y a beaucoup trop de hennissements du chanteur pour que l’album soit pris au sérieux. La pochette a beau ressemblé à un short 90’s d’André Agassi, c’est un peu court. Après « Zooropa », le groupe retombe d’une marche. Pas assez racoleur, trop compliqué.

C’est que, atigués par les tournées mondiales, un peu à court de jus, les garçons semblent las d’incarner U2 24/24 (on les comprend, ça ne doit pas être facile d’être The Edge tous les jours). C’est dans ce contexte que va naitre « Passengers », créature étrange née des entrailles expérimentales de « Zooropa ». On pourrait même dire qu’il s’agit en réalité de l’album que U2 aurait dû sortir après « Achtung Baby » s’il avait été au bout de sa logique auto-destructrice après dix ans de succès non-stop.

VARIOUS ARTISTS (CONCEPT ALBUMS & THEMED COMPILATIONS) Brian Eno ...

« La bande-son d’un film qui n’existe pas »

Il y a plein de raisons de se méfier quand on découvre l’histoire d’un disque, le sempiternel « la bande-son d’un film qui n’existe pas » en est une. C’est pourtant là que la belle histoire de Passengers débute. Après « Zooropa », le groupe a encore envie de jouer sans attendre les deux ans règlementaires pour la sortie d’un nouvel album studio. Eno, jamais à court d’idées, leur propose de repartir des chutes du dernier album en date pour imaginer – on vous le donne en mille – la bande-son d’un film qui n’existe pas (d’où la mention « Original soundtracks 1 » sur la pochette). Pour cela, l’Anglais débarque avec un scénario typique de ses Stratégies obliques, destinées à stimuler la créativité des musiciens : d’abord, des images d’archives (des reportages TV de 1953, des créations du Royal College of Art, des films orientaux, etc) puis aussi une ambiance africaine en studio (un écho à l’album afrobeat produit dix ans plus tôt pour Edikanfo). Une seule certitude : Passengers sera ce moment du lâcher-prise où un groupe oublie sa notoriété et plonge les deux pieds en avant dans l’inconnu. « On voulait devenir le backing-band de Brian Eno expliquera plus tard Bono à la radio, c’est là que je me suis rendu compte que je préfèrerais peut-être être un passager plutôt que le conducteur. Et puis c’était excitant de bosser avec le plus grand DJ du monde : Howie B ». Howie B, pour Howie Bernstein. L’homme qui produira le disque d’après, le tant décrié « Pop », à des années lumières de ce Passengers en catimini où Bono ne pète pas le volumètre avec ses couinements de petit chat caritatif.

Cinq ans avant “Kid A”

Là, on aura bien compris que si U2 et Eno ont appelé le projet Passengers, c’est parce que ce n’est pas vraiment un album de U2 : il est bien. Et mieux que ça même : passionnant. D’abord parce que dès la piste d’ouverture, on y entend la patte de Brian avec notamment des échos à son chef d’oeuvre ambiant “Fourth World, Vol. 1: Possible Musics”. Qui d’autre aurait pu faire le lien entre Jon Hassell et Bono ?

Et puis il y a tout le reste : sur Slug, ce sont de petits motifs électroniques mieux taillés que ceux de “Zooropa” qui prennent les rênes avec un Bono métamorphosé qui, miracle, susurre sur des programmations qui préfigure ce que sera plus tard la trip-hop anglaise. Larry Mullen, le batteur, ne l’entend pas de la même oreille : « La frontière est mince entre la musique intéressante et l’autocomplaisance. Nous avons franchi la ligne sur l’album des Passengers ». On peut comprendre son aigreur : “Passengers” est à U2 ce que “Kid A” sera à Radiohead cinq and plus tard, soit un disque presque sans guitare ni batterie. Beau gosse cogneur de futs au chômage technique.

On résume à mi-parcours : un chanteur cadenassé, un batteur au placard, The Edge en sourdine et l’homme qui inventa presque le son de Roxy Music aux manettes, tous les ingrédients sont réunis pour un bon accident.

Un gros à Sarajevo

Des disques-accidents comme ça, l’histoire en est peuplée. Même époque ou presque, on pense également au “Up” de R.E.M., enregistré sans son batteur mono-sourcillaire Bill Berry, touché par une rupture d’anévrisme. Dans le cas de Passengers, c’est surtout Bono qui est cérébralement anesthésié. Le seul single extrait du disque doit son succès à Pavarotti, dont on dit qu’il aurait fait des pieds et des mains pour s’incruster sur le refrain de ce titre évidemment politique abordant la guerre en Bosnie. Mais même avec cette rechute de Bono sur la chose politique, Miss Sarajevo possède ce truc inexpliquable qu’on appelle le goose bumps. C’est à la fois gros comme un camion (ou comme un chanteur d’opéra) et malgré tout arrangé avec une certaine justesse. Le titre aurait été place sur la B.O. d’un quatrième volet du Parrain avec BHL dans le rôle du spin doctor qu’on n’aurait finalement pas été choqué.

Eno, Bono, De Niro et Pacino

Et c’est finalement là qu’on voulait en venir : si le faux groupe Passengers est aussi resté dans les mémoires, en dépit d’une grosse partie des pistes vraiment dispensables, c’est parce que le réalisateur Michael Mann, passé expert dans la maitrise des ambiances, a choisi le titre Always Forever Now pour la bande-originale de son chef d’oeuvre à lui, Heat. En donnant inconsciemment corps à “cette bande-originale de film qui n’existait pas”, Mann propulse ce titre aux airs de course-poursuite dans une nuit bleue dans un autre espace temps. Il n’est dès lors plus question de quatre Irlandais tentant de se racheter une conscience avec un album concept, ni même d’un chauve même pas vraiment musicien faisant joujou avec des egos plus gros qu’un building; non, c’est tout simplement un vrai moment de beauté de six minutes qui fait tout oublier.

La maison de disque (Island), elle a gardé un doigt sur la calculatrice : Passengers sera un four comptable, “à peine” à 2 millions de copies quand “Achtung Baby” s’écoula à 18. Peut-être est-ce pourquoi l’album a été rayé de la carte officielle et n’est plus cité par aucun des membres du groupe désormais sexagénaires. Après ça, U2 décida qu’il était temps de ressortir le gros camion de pompier pour se reprendre une série de murs dans la tronche, cette fois sans personne au volant.

51 commentaires

  1. ????
    Dès les premières lignes de cet article, pzu sentir le ton de celui-ci.

    Et oui on sent cette haine contre U2.

    Mais ils resteront un groupe mythique quoi que vous direz.

    1. « Disiez » Monsieur, ou « Quoi que vous en disiez »… locution employé fréquemment dans les missives juridiques et autre procès en sorcellerie.

  2. Article intéressant et bien écrit mais votre haine de u2 et particulièrement bono est bien trop présente par conséquence le tout manque totalement d’objectivité. Dommage

  3. Sérieusement, a chaque fois que je te lis c’ est pour lire les choses abjectes que tu écris sur X ou Y…
    Entre nous, être « critique » ne veut pas forcément dire « critiquer » à tout va…
    Tu as le droit de penser ce que tu penses, mais ta subjectivité donne des migraines tellement il y a de négativité, de rencoeur et de venin mal placé… Un peu d’objectivité ne ferait pas de mal à tes écris et je te conseillerai également d’aller voir un proctologue car je penses qu’un objet inapproprié doit être coincé dans ton arrière train…
    U2 est et restera tout simplement une icône du rock irlandais et mondial…
    La jalousie et la frustration n’a pas sa place ici, la seule chose qui ai sa place est l’admiration…

  4. n’ en deplaise a l’ intelligentsia parisiano-parisienne chere a BESTER ET GONZAI c’ est un petit chef d oeuvre méconnu ce disque que j’ ai d’ailleurs chroniqué en 1996 sur mon blog a l epoque (ET OUI J’ETAIS DEJA SUR INTERNET LOL) perserverance.lycos.com. Brian Eno a toujours eu mes faveur que se soit en tant que musicien avec Friipp ou en tant que producteur pour les autres et justement U2 qui nous habituait a de la merde en barre 40 carats bon pour les suceurs de roue qui écoutent RLT2.

    1. Diantre!
      Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu de la bouillie mainstream a ce point..
      Toujours des commentaires 30 ans plus tard qui refont le passé en mode bobo….
      Écoutez boy et War et replacez dans le contexte….
      Eno c’est the Joshua tree …..
      Écoutez achtung baby et pop. …!

      Sinon continuez a écouter des groupes sur personne ne connais…et qui deviendront rien…des centaines d’articles existent pondus par des super critiques qui savent ce qui est bien…..

      1. L’article aurait pû être de qualité si la critique avait été objective ! Rabaisser autant un groupe aussi important dans l’histoire de la musique est juste hallucinant ! On aime où pas… Mais il faut déjà écouter ces albums à l’époque de leurs sorties ! Chacun a apporté tellement… Et je ne suis pas spécialement fan de U2, lais denigrer autant ces albums et les membres du groupe est nul. The Edge est pas le plus grand, certes, mais qui a eu ses idées d’effets, de mélodies ? Quand à Bono, qui a sa voix? Bref, un article décevant qui pue la jalousie et respire la meconnaissance totale du travail de composition et de studio… Prenez des instru, faites un album et on verra si vous êtes meilleurs! Car si U2 saoule un peu car trop entendu, il reste un incroyable groupe aux mélodies inoubliables, plein de certitudes sur notre société, son évolution et son histoire..

    2. Il faut vraiment ce faire chier royalement dans sa vie pour essayer piètrement à voulour m’imite, pauvre mec ta rien d’autre a faire de mieux ?

  5. Mon premier cd acheté à 15 ans en 1995. Je l’ai fait écouter à un ami il y a deux ans, il avait vraiment bien aimé. Quand je lui ai dit que c’étaient les blaireaux que sont souvent U2 qui étaient derrière, il a été complètement choqué.

  6. U2 est le plus grand groupe de rock du monde….et ces pas tous ces commentaires de pisse froid qui me feront changer d’avis….U2 for ever….

  7. Cet article c un genou sur la nuque de U2. Heureusement que ce critique, frustré de ne pas être un artiste, n’a pas de poids

  8. J’aime U2, j’aime coldplay, j’aime RTL2.
    J’aime pas les haters aigris et frustrés qui n’y connaissent rien à la musique, sûrement parce qu’ils ont jamais su en jouer!

    1. Du U2 ou du Coldplay, c’est pas bien difficile à jouer. Pour débuter et finir besogneux à la gratte y’as pas mieux.

      1. Les Beatles et les Rolling Stones sont super faciles à jouer également mais c’est pas la technique qu’on juge en écoutant de la musique mais l’émotion qu’elle procure.
        Des supers musiciens on en trouve des paquets dans tous les conservatoires du monde mais des gens qui créent et qui composent… Beaucoup moins.
        Une fois qu’un morceau est écrit, c’est facile avec 3/4 ans de conservatoire de le rejouer en se disant “C’est facile”; Mais le même gars qui dit ça semble en avoir été incapable de l’inventer et vouer à rejouer les morceaux des autres jusqu’à la fin des temps en invoquant l’incompréhension des gens à sont propre talent… À moins que lui même soit déconnecter à cause de sa propre adoration 🙁

        1. Oui j’ai joué plus qu’a mon tour les morceaux des autres mais pas que…
          Faut choisir qui te nourris musicalement, U2 c’est pauvre en vitamine Compos
          Osez comparer Beatles et Stones à U2, coté Buisness je veux bien, mais coté inspiration c’est quand même gonflé.
          En plus le Monsieur te dis dans l’article que leurs albums les plus ambitieux ils n’y sont pour rien, » Backing Band d’Eno », oups. Eux aussi finalement joue les morceaux d’un autres
          U2 c’est des imposteurs, et si tu trouves de l’émotion, c’est que tu es trop sensible
          En + j’ai rien compris à la fin du Post…
          Merci pour ceux du conservatoire qui joue sans émotion

  9. Pamphlet insupportable, sans aucune objectivité, écrit uniquement par un rageux pour tenter de faire un pseudo-buzz.
    Il en perd toute crédibilité et on peine à lire jusqu’au bout un torchon pareil.
    On peut ne pas apprécier un artiste, mais à ce point-là, cela insulte tous ceux qui aiment ou ont aimé U2.
    N’en déplaise à certains, U2 a écrit une page importante de la pop (et parfois rock) music dans les années 80/90, même s’ils se perdus par la suite, comme tant d’autres.
    Ils ne méritent pas ce déferlement de haine nauséabond.

    1. T’énerves pas, c’est son style à Bester, un peu de snobisme musical n’as jamais fait de mal. Ce qu’il faut retenir c’est la performance de Eno qui à fait d’un groupe moyen un groupe qui compte, c’est sa patte qui est importante.
      Moi, je comprend qu’il ne leur fasse pas de cadeaux. U2 se sont des escrocs et pas de bol leurs supercherie à fait des petits

  10. The Edge guitariste sans charisme. Admettons. Et alors ? Le charisme justifie tout ? Pas sûr. Le génie de ce guitariste n’est plus à démontrer.

  11. Ah ah ah !!!….. J’adore ce genre d’articles, écrit par des paumés qui n’ont jamais rien réussi dans leur vie. Ces critiques à 2 balles qu’on retrouve dans tous les domaines: musique, cinéma, littérature et j’en passe …. Moi U2 c’est en intraveineuse depuis plus de 30 ans , alors votre article me fait bien marrer….????

  12. Article inintéressant au possible.
    The edge joue de la guitare sur cet album et est très aventureux.
    De plus Achtung baby est produit par Daniel Lanois comme producteur principal.
    Si u2 ne vous plais pas , n’en parlez pas

  13. gnagnagna ! c’est celui qui le dit qui y est ! c’est pas moi qu’a commencé, c’est Bono !
    Ahaha sérieux, l’armée des défenseurs de U2 c’est à peu près du même niveau que le groupe qu’ils défendent : ras des pâquerettes !
    U2 pour moi ça a toujours été un truc qui passe entre Céline Dion et Daniel Balavoine quand je fais mes courses chez Auchan.
    Et Bonobo avec sa conscience politique niveau 4e qui a un compte en banque qui dépasse le PIB du continent africain.
    Bref les gars et les filles, je ne sais pas ce que vous foutez sur Gonzai. retournez écouter RTL2 et regarder Taratata.

  14. Que penser des maisons de disques actuelles?
    Si vous pensez cela de U2. Si U2 c’est de la merde, que penser de l’industrie musicale actuelle qui fonctionne en majorité en cover band . y a qu’à trouver la belle blonde qui chante bien. Faire un petit plagiat musical du dernier morceau…J’ai rien contre les brunes! Sa belle gueule, un bout de nichon et de la musique hyper compressée va faire oublier les solos guitares et les riff mortels? Je préfère encore écouter sunday bloody sunday sur l’album avec ses casseroles en guise de batterie.
    Personne ne dirait autant de mal sur Jonnhy qui a écrit 2 chansons (au pif) dans sa carrière. Il a su donner l’émotion que les gens attendent. Pour u2 c’est pareil.
    Ne remplit pas qui veut un stade ou 3 stades dans chaques pays du monde. Je sais que le monde est fou Monsieur. Mais pas en ce qui concerne U2.

    1. « Personne ne dirait autant de mal sur Jonnhy »… Bah si, moi je le dis : Johnny, c’est naze.
      U2 aussi.
      Qui a envie d’aller s’entasser dans des stades (à 250€ la place) pour regarder un concert sur un écran géant ?
      Quant à l’industrie musicale, on s’en branle de ce qu’elle est devenue.
      Il existe des tonnes de labels qui sortent des disques originaux, qui cherchent, qui explorent, qui expérimentent et qui soutiennent des artistes super qui n’iront jamais jouer dans des stades, parce que ce n’est tout simplement pas la finalité de la musique.

      1. Et bing !! tomber à pied joint dans la confusion
        C’est pas comparer Hitler à U2
        Mais faire du stade une échelle de valeur à ton groupe préféré
        C’est juste pathétique

  15. Et je note encore à propos de johnny : « Il a su donner l’émotion que les gens attendent. »
    Et oui, le monde a les héros qu’il mérite.
    En tout cas, merci Régis, j’ai bien ri.

  16. LE BRANLE COUILLE QUI dans son commentaire du 1 JUIN 2020 À 12 H 19 MIN ce fais passé pour moi qu’il aille se faire empapaouter , alors que soit clair BRIAN ENO j’en ai rien a branlé c’est un musicos qui a toujours etais trop surestimé pour moi , Discreet Music, Music For Films, Music For Airports et On Land et consort sont des albums qui me laissent de marbre et quand a U2 j’ai cessé ton interet pour eux depuis 1988 ,et je n’ai eu qu’un seul blog dans ma vie celui ci qui existe depuis 2011 https://perseverancevinylique.wordpress.com/ et en 1996 j’avais vaguement entendu parlé du net j’ai commencé seulement a surfé sur le net au boulot de temps a autre quand 1999 et je n’ai eu internet
    chez moi quand 2003, et pour conclure a la rigueur de eno je sauve l’album Wah Wah de james paru en 1992 chez Fontana /Mercury

    1. Cela tient du foutage positionnisme (la contribution d’Eno à la serie Discrete Music est superbe, mais on sort du rock, donc du positionnement), mais il est vrai que les deux albums de James produits par Eno en 1992/1993 sont très beau, bien plus que le Passenger. Peut-être plus Laid (plus commercial) que Wah-Wah. Et Pop de U2 est bon (If you wear that Velvet Dress).

  17. la collection de goldorak de sieur ? a atteint des summumms, quand est ‘il des 1er hors series de ZaÏ ?

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