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LE REGARD MODERNE
Une librairie sans fard

Sans rien dire, le grand Jacques s’en est allé ce samedi 1er octobre. Si les raisons de son décès sont encore inconnues, trois choses sont sûres : il était à la fois l’un des plus vieux libraires de Paris, indéniablement l’un des plus underground, et il manquera à ce qui reste du Paris des cartes postales. Au moment où l’une longue page se tourne, nous avions envie de lui rendre hommage avec une interview réalisée en avril 2012.
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MILES KANE
Casimir VS Mr Hyde

Il est bien loin, le temps où le rockeur britannique avait une aura sexuelle palpable à 3 kilomètres à la ronde. Aujourd’hui, la querelle oppose les Kooks aux Arctic Monkeys, rien de très excitant. Et quand bien même suis-je accro au binôme Rolling Stones/Kooks, Miles Kane est quant à lui 100% Beatles/Artcic Monkeys, tout droit sorti d’une publicité pour Penhaligon’s feat. the Kooples, avec une tête de sale gosse et des futals trop bien coupés pour être honnêtes. Miles Kane ? Un nom qui est à lui seul une véritable marque de fabrique « made in UK ».
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ARCTIC MONKEYS
Sueur et tranquillisants

Pascal, dans ses « Pensées », parle du divertissement comme d’un moyen pour l’homme d’échapper à l’ennui, et donc à Dieu. En s’ennuyant, l’homme se recentre sur lui et prend conscience de sa finitude, de la mort et du fait que Dieu est sa seule solution face à la vanité de son existence, et la seule issue du salut de son âme. L’expression ennui mortel vient d’ailleurs peut-être de là ?
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HIGH FIDELITY #1
Szendy, le ver et les 80’s

Dans le trip des playlists à thème, l’indétrônable John Cusack de « High Fidelity » n’a jamais trouvé d’égal dans la conscience populaire. Sa manie de compiler des morceaux selon les occasions a piqué le geek musical qui sommeillait en certains d’entre nous, bien que parmi les individus au combien moins connus que ce personnage de film , beaucoup sont pires que lui, atteints d’une maladie virale qui s’attrape à n’importe quel âge: la musicophrénie.
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THE SMITHS
There is a light that never goes out

Alors que je comatais tranquillement sur mon lit, voilà qu’un son m’extirpe de ma rêverie et vient se loger dans ma tête pour ne plus en sortir. D’ailleurs, il y a de fortes chances pour que j’écrive ce papier afin d’exorciser cela, car je n’écoute plus que le groupe à l’origine de cette situation depuis deux semaines. Et même si je les adore – au grand désespoir du rédac’ chef – j’aimerais bien pouvoir écouter autre chose que les Smiths.

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ALICE IN WONDERLAND
And wonderland is the Zenith…

La première fois que j’ai entendu «Billion dollar babies», je me suis arrêtée net et dit ‘‘Qui est ce type qui chante de deux manières différentes avec deux voix qui s’entremêlent parfaitement ?’’. La seconde fois que j’ai été amenée à écouter cet artiste, c’est quand une de ses chansons m’a été dédicacée par SMS : ‘‘J’écoute « Poison » et… bon sang, qu’est-ce que je penses à toi avec ce morceau…’’ A partir de là, j’ai écouté tous ses albums, j’ai aimé Alice Cooper, sa voix, tout ce qui peut s’en dégager. Je l’ai trouvé sexe (musicalement). Puis j’ai appris qu’il avait 63 ans. Hum. Bref.
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