Entre l’anecdotique et l’ineffable, voilà peut-être la meilleure définition du journalisme Gonzaï. Il y a plusieurs mois nous avons proposé à Kiôchi qui écrit déjà depuis de nombreuses années pour des revues japonaises underground de réaliser des haïkus de concert. Il ne nous a pas répondu, mais voilà 3 semaines nous l’avons croisé à Villette Sonique et cette semaine nous avons reçu son premier report, trois lignes, nous n’avons rien à y ajouter.
6 juillet 2014
HAÏKU REPORTS
Nissenenmondai
