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DAUGHN GIBSON
« Me Moan »

Dans un récent papier de Libération intitulé « Le miel Gibson », l’increvable Bayon, Belphégor de la rédaction en place depuis au moins quatre générations de machines à écrire, décrivait la musique du jeune américain comme un « baryton Engelbert Humperdinck revu americana, entre Tom Jones et Richard Hawley (…) croisé de Hanni El Khatib rectifié la Redoute ». Fidèle à sa légende, Bayon continue d’écrire des papiers que personne ne comprend. Mais pire que le style ampoulé emprunté au Baron de Nucingen rectifié rock critic qui vaut à Bayon d’appeler un chat par d’autres noms, il y a une toute autre évidence : un chanteur portant le même nom qu’une marque de guitare mérite mieux qu’une comparaison avec un acteur psychotique.
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METZ
L’attaque des drones

Taper Metz sur le Net, c’est ne rien attendre de plus qu’une fin de soirée à boire de la bière éventée. Mis à part le fait qu’il est possible de visionner en ligne son conseil municipal, ces quatre lettres googlées nous apprennent toutes sortes de trucs dont on a le droit de se foutre comme du dernier vomi de JF sur son ami François. Ce n’est donc pas un secret de révéler que Metz demeure cette ville capable de ne laisser aucun souvenir aux gens de passage. Or, aux dernières nouvelles, Metz a été transplanté à Toronto. Et si, dans l’idée, ce déménagement semble plutôt funky, c’est penser peut-être un peu trop vite que Toronto est, du monde, la plus gaie des cités.
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