C’est une histoire comme seule la Belgique sait en fournir : à la fin des années 70, le dénommé Guy Cabay tente de percer avec une sorte de bossa nova belge jouée au vibraphone et chantée dans une langue (le wallon liégeois) que plus personne ne parle. Et forcément… ça ne marche pas. C’était sans compter sur Bertrand Burgalat qui, 45 ans plus tard, tombe par hasard sur ses 2 disques oubliés avec, à la clef, une réédition chez Tricatel de cet Antônio Carlos Jobim complètement timbré. A 72 ans, voici sa première interview filmée.
Plus d’infos ici : https://tricatel.com/guy-cabay/