La Ruta Destroy, quand l’Espagne inventait la Rave

A la fin des eighties, l’Acid House ou l’Electro de Détroit je n’en avais rien à foutre. J’étais encore immergé dans les sphères obscures de la New Wave, du Punk ou du Goth (aujourd’hui pour faire moins ringard tout le monde utilise la dénomination « Post-Punk ») responsables d’une décennie coincée entre la dépression vinylique d’un The Cure et les hymnes stadium sur Disque Compact d’un Depeche Mode. Cela dit, sans être ni geek ni collectionneur de synthés, j’ai toujours profondément adoré le son des machines, surtout celles qui crissent, qui ondulent, qui grésillent et qui déchirent l’espace temps. 
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La rave-party comme en 1994 avec Throw Down Bones

Est-il encore bien utile de démontrer que la musique d’aujourd’hui ne cesse de devenir un patchwork hybride, et que le rock et l’électro n’ont jamais été aussi bons copains que maintenant ? Pas vraiment. Mais il existe des groupes qui excellent tellement bien dans ce mélange des genres qu’il est du devoir de Gonzaï de vous les présenter. Voici donc Throw Down Bones.
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