Rencontre avec Fabrice Epstein, l’avocat qui fait lever tous les accusés du rock

L’audience démarre comme dans un rêve, dans la salle voûtée de feu la buvette du Palais de justice de Paris. Au milieu des fantômes et de leurs vieux dossiers cachés, l’avocat Epstein (pas Brian, Fabrice) déroule son « histoire judiciaire du rock » compilée dans le livre Rock’n’Roll Justice. En un peu moins de 60 textes, il met à peu près tout le monde à poil.
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« Iris » de Justice, un impressionnant huis clos au salon luminaire de chez IKEA

Musique live et cinéma font mauvais ménage, les bons exemples se comptent sur les doigts d’une main de Django ; le Live à Pompéi de Pink Floyd étant dans le genre le mètre étalon ayant inspiré des dizaines de copies ratées sur quatre décennies. C’est pourquoi l’annonce de la sortie du space opera de Justice avait sur le papier toutes les raisons d’exciter les fans – en vrac – des Daft Punk, de Kubrick et du duo Xavier/Gaspard. Hélas, après visionnage, Iris fait surtout très mal aux yeux.
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Christine, marquise des synthés

Contrairement à Angélique, cette princesse coincée dans son château de femme soumise, Christine, elle, livre depuis 2012 une électronique libérée, délivrée, dont ce récent « Echoes of dawn » qui s’écoute comme le chainon manquant entre [artiste de ton choix] et [artiste de ton choix] et pourrait bien devenir la sensation de [mettre une grosse punchline pour le sticker Fnac]. Bon, en vrai, le nouvel album de Christine est le chainon manquant entre John Carpenter, Principles of Geometry et Carpenter Brut et il pourrait bien devenir ton disque préféré. Du moins si tu as toujours préféré l’humidité des caves aux muqueuses de bord de plage.
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MR OIZO
La beauté est ailleurs

Triple intérêt du nouvel album de Mr Oizo : faire grincer des dents, faire grincer des dents, faire grincer des dents. Loin d’être une joie, ce disque n’est pas non plus, au fond, une souffrance. Pourquoi, pourquoi, pourquoi ? Puisqu’il est inécoutable, on n’a pas à se concentrer pour l’écouter. Il tourne une fois sur la platine, une bonne fois pour toutes et basta, on peut passer assez rapidement à autre chose. Regardez « Rubber » en DVD, par exemple.
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