« Iris » de Justice, un impressionnant huis clos au salon luminaire de chez IKEA

Musique live et cinéma font mauvais ménage, les bons exemples se comptent sur les doigts d’une main de Django ; le Live à Pompéi de Pink Floyd étant dans le genre le mètre étalon ayant inspiré des dizaines de copies ratées sur quatre décennies. C’est pourquoi l’annonce de la sortie du space opera de Justice avait sur le papier toutes les raisons d’exciter les fans – en vrac – des Daft Punk, de Kubrick et du duo Xavier/Gaspard. Hélas, après visionnage, Iris fait surtout très mal aux yeux.