Avec son Algérie du futur, Bab dé-raï complètement

Le saviez-vous ? En 2013, le startupper Joakim sonnait disruptif avant l’heure avec la création de sa pépinière d’entreprise nommée Crowdspacer, où l’on trouve depuis tous les bras les plus cassés de l’électronique tonique. Dernière signature en date : Bab, membre du collectif 404 et auteur de l’excellent EP « Aïdour », du nom d’une petite montagne de 430 mètres d’altitude où plane des musiques pas très vivement conseillée à Eric Zemmour. 
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JOAKIM
Sous le sunlight des tropiques

Désormais installé à New-York, le taulier du label Tigersushi, mélomane exigeant et producteur dont la réputation n’est plus à faire, était récemment de passage à Paris pour assurer la promotion de son nouvel album. On se faisait d’avance une joie d’encenser ce « Tropics of Love », seulement voilà : après écoute, on s’est un peu ravisé. Le nouveau Joakim, très marqué par la façon dont il a été enregistré, est un disque assez lent qui puise abondamment dans la deuxième moitié des 80’s (synthétiques). A moins qu’il incarne une énième facette de ce personnage en mutation artistique permanente ? Quoi qu’il en soit, pour la première fois de sa carrière, Joakim sonne old-school et parfois même cheesy. Nous le lui avons dit, et cela n’a pas empêché le grand gaillard de répondre à nos questions.
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ÉTIENNE JAUMET
Le murmure des machines

Pied de nez ou clin d’œil à la (dé)fête de la musique, voilà que Gonzaï organisait ces jour-ci le retour de the Married Monk, petits copains de Yann Tiersen mais surtout rescapés des années 90 et du label Rosebud.
Une bonne occasion pour faire le grand ménage de printemps, petits papiers à l’appui, sur l’un de leurs membres, Étienne Jaumet : un esthète du clavier, un mec qui refuse toute étiquette pourvu qu’on le laisse faire son bonhomme de chemin. Portrait d’un homme-orchestre à l’approche du nouveau disque de Zombie Zombie. Et généalogie d’une rencontre.
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