Tour à tour hypnotique et complètement impersonnel, vulgairement mainstream et profondément indie dans son ADN, le premier album du new-yorkais cristallise en 40 minutes la pop synthétique telle que les nostalgiques des
« Je vois la divinité dans des choses ordinaires », disait Diane Arbus à l’âge de 16 ans, en 1939. La phrase résume à la perfection l’œuvre de cette photographe atypique, qui
16 août 2011. 20h. Warner, dans le 8e arrondissement de Paris. J’attends que le téléphone sonne. Bon, soit, au bout du fil je n’aurai pas Ben Gibbard, le songwriter de Death Cab.
Nashville c’est loin, trop loin maintenant. Même les Deep Vibration, adoubés par Lou Reed en personne, n’arriveront plus à nous détourner de nos vies ordinaires de bons petits consommateurs américanisés. Strange Love
Quand vous aurez les rétines usées par les Black scissions autour de Lenoir, je vous suggère l’écoute d’une petite Blanche qui a des choses à dire sur les Dirty Radio.
Coincé à Paris, rincé par l'ennui d'un été un peu trop pourri, c'est quelque part en Oklahoma que je devais retrouver la foi, projeté par la tornade symphonique du quintette de Stillwater.
Son ombre a plané sur tous les génériques des années 80 et son nom fut longtemps un gage de sécurité pour ceux qui cherchaient à perdre trente minutes le cul rivé dans
Quand l’influent humoriste Jon Stewart a annoncé dans Le Daily Show qu’il organiserait le 30 octobre le Rally To Restore Sanity à Washington, il demandait à ses auditeurs d’imaginer «un Woodstock, mais