YAN WAGNER [INTERVIEW]
Pôle Austère
Lily Allen disait qu’à l’écoute de Wagner on a envie d’envahir la Sologne. La pauvresse n’a rien compris. C’est pourtant simple, depuis le prélude de Tristan & Isolde, aucun Wagner (et ils sont nombreux) n’avait cultivé autant de majesté et de solennité dans un même morceau de vinyle. Rira bien qui Walkyrira le dernier, avec son premier album, “Forty Eight Hours”, Wagner quitte la place du mort pendant que Yan se fait un prénom. Rencontre avec un Wagner sans utiliser de ouija.