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RETOUR À COLD CAVE MOUNTAIN

L’époque est en manque cruel de popstars. C’est dur de s’identifier à des artistes, qui, comme ton collègue de boulot du lundi matin, partagent des vidéos de chats qui sauvent des petits garçons sur ta timeline facebook. Alors pourquoi un garçon handicapé et dépressif tel que Wesley Eisold a tout pour être désigné comme le nouveau Morrissey 2.0 ? Et d’ailleurs, qui c’est ce mec ? De la scène harcore underground U.S au Festival Pitchfork, un destin remarquable où se croisent Genesis P-Orridge, Morrissey, Jean Genet, Sisters of Mercy, des nazies et Instagram.
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MORRISSEY
Bigmouth strikes again?

Depuis 15 ans, Morrissey sort des albums dont tout le monde se fout. A part les Mexicains. Mireille Mathieu est une star au Japon. Momo à Mexico. Arrive aujourd’hui « World peace is none of your business », nouvel LP d’un Moz sortant d’un quinquennat de silence discographique. Précédé d’échos élogieux, d’un single médiocre et d’un titre canon (Istanbul), je me mettais en quête de ce disque aussi difficile à dénicher qu’une Playstation le jour de sa sortie. Alors, ce nouvel album solo du vieux crooner? Filature. Audition. Et procès-verbal.
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MORRISSEY ET « YOUR ARSENAL »
London calling

La réédition récente du troisième album solo du « Moz », qui occupe une place à part dans sa discographie, rappelle que le crooner britannique n’a pas enregistré que des douceurs, et que ses influences premières plongent dans le glam et le punk-rock. A l’heure où il annonce un nouvel album dont on n’attend évidemment pas grand chose, revenons un instant sur son grand œuvre électrique de 1992, fomenté avec une bande de durs à cuir (noir) en pleine période grunge, et nourri par un attachement féroce à sa condition de porte-Union Jack.
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