Deep Purple : le concerto de l’impossible

Plus de cinquante ans plus tard, « Concerto For Group And Orchestra » de Deep Purple reste dans l’esprit des amateurs de rock comme une ignoble bouse ampoulée qui aura également engendré chez les groupes de rock des envies de fusion rock et musique classique à travers les décennies suivantes. Et souvent pour le pire. La réalité est que cet enregistrement n’a jamais été vraiment écouté et que son histoire contredit totalement sa réputation. Pire : ce double album live était en fait très bien.
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A la recherche de Rod Evans, premier chanteur disparu de Deep Purple

Lycéen, je me suis pris de passion pour Deep Purple. Nous étions au milieu des années 1990, et le groupe était à l’époque un dinosaure agonisant dont le guitariste-miracle Ritchie Blackmore venait de claquer la porte pour la seconde fois de son histoire. Déjà doté d’un caractère à aller régulièrement à contre-courant, je n’écoutais pas ce qui passait à la radio à l’époque : Nirvana, Metallica, U2, Rage Against The Machine… Je préférais le vieux son organique. Les Who et Led Zeppelin étaient alors mes favoris. Deep Purple en sera rapidement un autre, ébloui par la férocité de l’orgue Hammond goudronneux de Jon Lord, la guitare furieuse de Ritchie Blackmore et la batterie diabolique de Ian Paice.
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ROTOMAGUS
Stairway to hell : The Sky Turns Red

Abandonnés sur le bord de la Nationale 7 par la postérité, les Rouennais du groupe Rotomagus n’ont jamais connu le summer of love ni les lauriers du temps où ils croisèrent la route de Led Zeppelin ou des Who. Une quarantaine de saisons après leur séparation, Julian Cope puis le label Martyrs of Pop les prennent en stop pour un dernier tour de piste. Et, une fois n’est pas coutume, l’exhumation du corps est plus céleste que prévu…
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