Ah oui, pas facile de s’administrer sans grand renfort de matière grasse de la musique à mille lieues de ses préoccupations. Dans cette deuxième partie, nous verrons comment enterrer une bonne fois pour toute le mythe Syd Barrett ; mettre dans son panthéon personnel le Noir albinos Prince ; écrire dans le marbre que le rock’n’roll est une musique d’handicapé moteur et, enfin, des anges et des cowboys se tireront la bourre dans la voix d’un dieu grec aux mœurs par tout à fait catholiques.
Prenez des forces, on vous enterre dans la prochaine émission.
si on enlève cette ignoble doublé de prince qui me conforte dans l’idée que c’est insupportable ( sauf raspberry beret) cette deuxième partie est achement plus audible ! kaledeiscope précisons qu’il y a les anglais et les ricains ( mené par l’excellent David Lindley)et que les deux sont bons. Mieux que ce bijou de triad, cher syd, Cowboy movie sur if i could only remember my name, morceau où il raconte l’histoire tumultueuse de CSNY
Hormis sa musique, la véritable question concernant Prince est: comment un type aussi riche puisse s’habiller aussi mal?