Après le succès mondial du volume 1, où Albert Potiron donnait la parole à 16 rock critics français, Gonzaï persiste et signe avec un volume 2 encore une fois dédié à ces hommes et femmes ayant décidé d’entrer dans la presse rock comme on entrerait en religion. Le livre est à commander dès maintenant ici même.

Après un premier volume consacré à quelques pères fondateurs, cet épisode 2 creuse le sillon du disque en donnant la parole à d’autres obsédés textuels légendaires tels François Gorin, Hugo Cassavetti ou, plus près du présent, Yérim Sar et Rebecca Manzoni. Après 400 pages ou presque, toujours le même constat : aucune de ces trajectoires ne ressemblent aux autres, mais toutes ont en commun de dessiner des « carrières » façonnées à la force du poignet, littéralement.

Avec des interviews exclusives de : Lydie Barbarian (Libération), Philippe Barbot (Rolling Stone, Télérama), Christophe Basterra (Magic, Rock & Folk), Yves Bigot (Rolling Stone, Libération), Olivier Cachin (Freelance), Hugo Cassavetti (Télérama), Francis Dordor (Best, Les Inrocks), Patrick Eudeline (Rock & Folk), François Gorin (Rock & Folk, Télérama), Serge Kaganski (Les Inrocks), Charline Lecarpentier (Magic, Libération), Serge Loupien (Libération), Rebecca Manzoni (France Inter), Laure Narlian (France Télévisions, Les Inrocks), Yérim Sar (Vice, Mouv) et Arnaud Viviant (Freelance).

Profession : Rock critic, volume 2 par Albert Potiron (400 pages, inclus photos noir et blanc par Astrid Karoual. Tarif frais de port compris pour la France métropolitaine). Préface par Miossec. 

Pour commander, c’est par là : https://gonzai.com/produit/profession-rock-critic-volume-2/

6 commentaires

  1. En 2022 il y a t’il un critique rock de la nouvelle génération qui tiens la route ? Ils écrivent tous de la bouillabaisse en Serbie Croate et ont peu ou pas culture musicale pérenne

  2. Le mot PROFESSION est un peu gênant non ? Rock Critic n’en parlons pas… hé quoi ? préface de Miossec… ce monde est un enfer décidément…

  3. Que l’immense FLORENT MAZOLENNI soit absent des 2 volumes de profession rock critique d’Alber Potiron est assez scandaleux car pour moi il fut un passeur de premier plan et ce qui ME fait encore plus rire c’est de voir la présence de critique en plastique lilliputien comme Thomas Ducres des enflure de Gonzaï ou de la nouvelle génération de pigiste à la culture musicale très parcellaire et limité comme Charline lecarpentier et consort et j’arrête ici de cité des noms car sinon la liste serais si longue tant pour moi certains pseudos critiques ne méritent pas de figuré dans l’histoire des rock critiques frenchy et encore moins dans un livre

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