Sommaire du trentième numéro de Gonzaï magazine consacré au cyberpunk. Formule toujours XXL, 164 pages (Frais de port compris dans le prix de vente). Un numéro no(w) future à lire en se décolorant les cheveux.
AVANT :
Promo not promo: Une nuit presque ratée avec Christophe.
Portrait: Philippe Baudouin, l’homme qui capte la voix des morts sur un vinyle.
Stupide : Comment je me suis converti au Dudeisme (et une histoire des religions les plus débiles depuis la mort de Jésus).
PENDANT :
Des interviews fleuves avec Alain Damasio, le père du cyber William Gibson, Ed Neuemeier (l’homme qui a créé Robocop) Pat Mills (l’inventeur de Judge Dredd) ou encore Tamara Deverell, art director du film eXistenZ.
Babylone, tu déconnes : Portrait de Maurice G. Dantec.
Cybercafés : Reportage sur une industrie qui ne débranche pas.
Reportage à Abraxas, à Noisy-le-Grand, dans le décor du futur où furent tournés Brazil et Hunger Games.
Jamais marre des nanars : Le (très) pire et le meilleur du cinéma cyber.
Les rebellions graphiques de Pepe Moreno.
The Long Tomorrow, la bande-dessinée qui a défini l’esthétique du cyberpunk.
Portrait : John Sex n’a plus la banane.
Discographie : Les 33 plus grandes attaques de synthpunk par Benoît Sabatier.
Portrait : Sigue Sigue Sputnik.
Billy Idol : pire musicien cyberpunk de l’histoire ?
Portrait : Gareth Branwyn.
APRÈS
Mathématiques Modernes : L’équation impossible d’Edwige Belmore et de Claude Arto, symboles des années Palace et d’un punk chic et paillettes.
Christian Clavier et moi : Tentative de réhabilitation de l’acteur houellebecquien capable de cerner, en quelques répliques et une mimique, le fond du désespoir masculin.
claude le louche –
l’amitiee franCONMayo a assez durer