De belles gueules, un nom aux airs de logo parfait, des hits, un buzz de malade, des origines new-yorkaises, une signature chez Columbia… Le début de carrière de MGMT il y a une décennie donnait envie de sortir la sulfateuse. C’était sans compter sur la musique du duo, subtilement addictive et diablement efficace. Une vérité qui ne s’est pas démentie depuis, ceux qui en doutent peuvent écouter Siberian breaks en boucle jusqu’à rejoindre Mark E. Smith. Je n’ai jamais rien eu à reprocher à MGMT. Sauf peut-être d’avoir été un (le?) des premiers groupes à avoir remis à la mode (avec les horribles canadiens de MSTRKRFT?) les noms pourris de groupes sans voyelles. Une maladie qui prolifère désormais dans tous les genres (au hasard BRNS, PNL, SCH, MHD, SBTRKT, BLK JKS, PRML SCRM, HTRK, MMZ, SNGPR…). Un mouvement qui donnerait presque envie de militer pour un retour des groupes « en The ».
Avant cet acte citoyen, on vous conseille tout de même de découvrir l’excellent « Little Dark Age », nouvel essai « synthés + 80’s ». Alors qu’il avait toutes les cartes en main pour lyncher tous les codes du mainstream et de la pop, MGMT a donc décidé de revenir à la recette qui avait fait son succès, à savoir de magnifiques morceaux produits à la sauce 80’s, une décennie qui fascine Ben et Andrew. Bonne ou mauvaise décision, on a tenté d’en parler avec ces nouveaux prisonniers du cool.
GONZAI : Salut les gars, je viens vous poser quelques questions pour Gonzaï.
Ben : Gonzaï ? Ah oui, vous organisiez une fête hier soir, non ? Notre manager et nos roadies y sont allés. On ne les a pas revu depuis.
Vous allez enchaîner trois jours de promo en France et voir à peu près tous les médias qui existent. Sauf peut-être Le chasseur français. Pourquoi faire tant de promo quand on s’appelle MGMT ?
Andrew : En réalité on a un jour off demain. Mais on est vraiment super occupé. Là, je rêve juste d’être enfermé dans ma chambre d’hôtel pendant 48 heures.
Venons-en à l’album « Little dark age » ? C’est quoi, ce titre de goths refoulés ?
Ahahah. Ce n’est pas du tout une déclaration de haine à notre époque. C’est plus simple que ça. Quand on a écrit quelques morceaux pour cet album, ce titre nous semblait être celui qui les regroupait le mieux. Ca nous paraissait cohérent. Alors on l’a gardé. On a écrit cet album durant la campagne des élections présidentielles américaines. On l’a terminé à peu près au moment de la victoire de Trump. Ce titre n’a rien de négatif, ce n’est pas une critique du monde actuel ou une métaphore sombre de ce qu’il pourrait devenir.
Ce nouvel LP est peut-être le plus catchy de votre discographie. Il me paraît même plus tubesque qu’ « Oracular Spectacular », votre premier album. L’avez-vous écrit en réaction à votre précédent LP qui était beaucoup plus expérimental?
Ben : En enregistrant le précédent album, on parlait déjà d’enregistrer des morceaux très immédiats, très pop. On voulait ça mais c’est pas ce qu’on ressentait. Du coup c’est quelque chose de plus psyché, de plus bizarre, qui était sorti au final. Pour celui-là, on s’est plus isolés, on s’est moins entourés d’amis. Ca nous a permis de plus nous concentrer sur le processus d’écriture, de composition.
Votre précédent LP avait reçu un accueil mitigé. De très bonnes critiques bien sûr, mais aussi pas mal de voix dissonantes expliquant que vous vous étiez un peu perdus.
Andrew : Déjà, nous étions parfaitement conscients en le sortant que c’était pas un album très facile et très plaisant à écouter. Mais on le voulait comme ça au final. « Claustrophobique », pas facile à écouter. On voulait que ce disque mette l’auditeur mal à l’aise. C’est donc normal que certains l’aient trouvé difficile, voire ne l’aient pas compris du tout.
Avec un peu de recul, qu’en pensez-vous aujourd’hui ? Raté ou Réussite ?
Franchement, on en est très fiers. Il représente ce qu’on était, ce qu’on avait en nous au moment où on l’a enregistré. Que veux-tu qu’on te dise d’autre ? On ne va pas le renier parce qu’il n’a pas plu à quelques personnes. On est toujours restés fidèle à notre vision d’artistes, c’est le plus important.
« Ce nouvel album est probablement notre album le plus commercial, le plus mainstream. »
Pour ce nouvel LP, deux chemins s’offraient à vous. Devenir encore plus expérimentaux, plus barrés, ou embrasser à nouveau les voies de la pop en rentrant dans le rang. Avez-vous hésiter ?
Si tu avais du parier sur un de ces deux choix, comment envisageais-tu la suite pour nous ?
Franchement, je vous espérais partant dans un LP complètement barré et dénué de tout format pop.
Ben : Du coup on te surprend encore plus en faisant un album plus mainstream, plus 80’s. C’est peut-être ça, être expérimental finalement, ah ah.
Andrew : A mon avis, ce nouvel LP est probablement notre album le plus commercial, le plus mainstream. Encore plus que le premier qui ne contenait finalement que trois véritables pop-songs. Ce nouvel LP est un tout, chaque morceau est très pop, très catchy. Il y a moins de moments bizarres que sur « Oracular Spectacular ».
Parlez-moi un peu du morceau Me and Michael. Franchement, vous l’avez designé pour que ce soit un gold sur les radios dans 15 ans, non ?
Ben : je l’espère bien, oui. Ce serait super cool que ces chansons passent en rotation lourde à la radio.
Andrew : C’est le dernier morceau qu’on a écrit pour cet album. On avait encore besoin d’un morceau. Ca s’est fait très rapidement. On était en studio, et la ligne mélodique est apparue en jouant du synthé, en faisant un peu d’édit et en jouant autre chose.Encore un peu d’édit et à la fin de la journée, on avait plus qu’un squelette de chanson. Me and Michael a été très facile à écrire parce qu’on était à la fin du processus de création. On était bien chauds si tu veux. On avait essayé plein de nouvelles façons de composer un morceau, notamment avec Patrick Wimberly, qui jouait dans Chairlift et qui a coproduit l’album et nous a aidé sur son écriture. Dave Fridmann aussi, il est intervenu à la fin et a surtout travaillé sur le son de l’album. Les idées fusaient, et on s’autorisait facilement à les développer. On retrouvait un peu la facilité et la façon de travailler qu’on avait quand on était étudiants. C’était simple, facile. Et bien sûr avec des influences 80’s et des synthés.
Puisque ça semble si facile pour vous d’écrire de bons morceaux, pourquoi avoir attendu aussi longtemps depuis l’album précédent ? Ca fait déjà 5 ans.
Ben : Franchement, on avait besoin d’un break. Après l’enregistrement on avait tourné presque deux ans. Puis à peine la tournée finie, j’ai déménagé à Los Angeles. Pendant un an, on a pris une année off. On n’a pas du tout fait de musique ensemble. Et puis lentement, on s’est remis à écrire tous les deux. C’était pas si simple.
Andrew : On avait aussi besoin de reprendre confiance en nous. Ok, on a écrit « Me and Michael » très rapidement, mais c’est juste parce qu’on avait bossé très dur avant. Au départ, on a eu du mal à se retrouver, à composer à nouveau ensemble. Ca nous a pris du temps.
Quel morceau est venu en premier sur la table ?
When you die. On écoutait beaucoup Ariel Pink à ce moment-là, et je crois que sa musique nous a donné envie de continuer et d’essayer de nous surpasser.
Plus que Pink, ce nouvel album m’a fait penser aux productions de John Maus ou d’Alex Cameron.
Andrew : J’ai déjà vu John Maus en concert il y a pas mal de temps. Mais Alex Cameron, je ne connais pas.
Ben : Il est australien, non ? Je ne connais pas très bien sa musique mais je devrais peut-être l’écouter puisque tu nous en parles.
Andrew : Même si je respecte l’art des personnes que tu cites, je crois qu’on est beaucoup plus influencés par les 80’s.
« Il y a quasiment tout dans les années 80 ».
On ne sortira donc jamais de ce revival 80’s qui est là depuis 10 ans?
Pourquoi en sortir ? Il y a quasiment tout là-dedans.
Admettons. Un duo fonctionne parfois étrangement après plusieurs années. On peut très rapidement ne plus supporter l’autre. Quels sont vos rapports entre deux albums ?
Ben : On ne se voit pas tant que ça.
Andrew : En 2015, on s’est quasiment pas vus c’est vrai. On a dû se croiser deux fois mais on était chacun concentré sur notre vie personnelle. Maintenant, nous sommes séparés géographiquement. Ben vit à L.A, moi à New-York. On ne peut pas avoir les mêmes rapports qu’à l’université où on passait beaucoup de temps ensemble. Aujourd’hui, nos retrouvailles doivent compter et nous permettre de produire quelque chose car elles sont beaucoup plus rares. Être en tournée, c’est encore différent. On est souvent ensemble dans des espaces assez confinés, et pourtant, on passe aussi beaucoup de temps avec soit-même, à réfléchir. Balances, concerts, hôtels, promo, balances, concerts, hôtels, promo… Ca te laisse pas mal de temps pour creuser ton intellect. Pour te promener un peu seul dans des villes que tu ne connais pas.
C’est la quatrième fois que vous bossez avec Dave Friedmann. Pourquoi l’avoir à nouveau appelé ? C’est votre doudou ?
Andrew : Il a été très important à nos débuts. On venait juste de signer chez Columbia et c’était comme un papa oiseau qui nous protégeait des agressions extérieures. Notre association avec lui s’est révélée très agréable. C’était facile de bosser ensemble. On lui faisait confiance. Alors on continue.
Ben : Après toutes ces années, on se rend aussi compte que c’est indispensable d’avoir quelqu’un qui arrive à la fin du processus d’écriture. Quelqu’un qui n’a pas assisté à la première partie de l’enregistrement de l’album et qui va nous faire progresser facilement parce qu’il n’est pas attaché à telle ou telle partie d’un morceau, parce qu’il se fout de savoir si telle autre partie a nécessité beaucoup de boulot ou pas. On a super confiance dans son jugement, il peut s’autoriser de vraies coupes dans ce qu’on fait.
« Musicalement, toutes les barrières se sont écroulées. »
Dans le passé il a énormément bossé avec les Flaming Lips. Vous imaginez-vous parfois comme leurs successeurs ?
Andrew : il y a des points communs, c’est évident. Par exemple, ils ont pratiqué de la musique expérimentale pendant pas mal d’années avant de revenir avec des morceaux plus populaires. Il y a des parallèles avec eux mais aussi des grosses différences. On a explosé dès notre premier album, par exemple. Pas eux.
Rétrospectivement, comment aviez-vous vécu ce succès ?
Ben : on est des mecs très calmes. On aime bien nos vies de familles. Tranquilles. On n’a rien de démoniaque, on ne vit pas comme des rock stars camées. On a un peu goûter à ce mode de vie vers 2008. Ou sur la tournée de « Congratulations » qui était incroyable. Et puis un mec de notre équipe a eu un garçon et ça nous a rapidement beaucoup assagi.
Puisque vous évoquez « Congratulations », votre deuxième LP, pouvez-vous me parler un peu de ce morceau incroyable qu’est Siberian breaks ?
Andrew : je ne me souviens plus comment il est arrivé. On était à New-York, en plein hiver. On voulait écrire un morceau fleuve, faire un clin d’oeil à The Incredible String Band, un vieux groupe psyché de la fin des 60’s. Et aussi à The Millenium, un groupe plus « sunshine pop » de la même période. L’album « Surf’s up » était aussi une énorme influence à ce moment là. C’était seulement notre deuxième morceau un peu long. Metanoia qui était sorti entre « Oracular Spectacular » et « Congratulations » partait déjà dans tous les sens et faisait plus de dix minutes.
Depuis vos débuts le paysage musical a pas mal changé. Aujourd’hui, c’est le hip-hop qui domine les charts et l’industrie musicale. Vous en écoutez ? Que pensez-vous de cette musique ?
Ben : J’en écoute. Mais plutôt du rap old-school. Enfin des trucs des 90’s. Je vais pas me la jouer west coast et gangsta rap pour te faire plaisir, mais j’en écoute. Je pense qu’il y a beaucoup d’expérimentations sonores dans le hip-hop actuellement. Même dans certains trucs considérés comme mainstream, t’entends des sons hallucinants, des éléments presque psychédéliques. Toutes les barrières se sont écroulées, et ça, c’est intéressant. Ce qui est certain, c’est que cette musique m’intéresse plus que l’intégralité du rock mainstream des vingt dernières années. Un rock ennuyeux, sans imagination. Quand je conduis, j’écoute souvent le top 40 des morceaux qui passent sur les radios. Je suis de Memphis, Tennessee. J’ai grandi en écoutant des groupes comme Three 6 Mafia. Je trouve ça assez dingue de retrouver tous ces sons du début des 90’s dans de la trap d’aujourd’hui. Ce qu’on écoute actuellement partout me rappelle ce que j’écoutais gamin à Memphis. C’est comme ça que fonctionne la musique, par cycles. Dans le rock, il y a eu des trucs atroces. Le grunge. Ou Battle of the bands par exemple. Le truc c’est qu’à 14 ans, j’étais à fond dans des trucs limites. Je portais des Doc Martens et j’écoutais Veruca Salt en boucle. J’essayais pourtant d’écouter des groupes des 90’s qui ne faisaient pas de la musique des 90’s, mais bon…
Et aujourd’hui, ça écoute quoi, MGMT ?
Ben : pas grand-chose de nouveau, pour être honnête. Je suis bloqué sur des groupes 80’s, des trucs de post-punk ou de new-wave principalement. Mais je prends du plaisir à creuser ces mouvements. Comme un digger du passé. Trouver un bon groupe de new wave, de new romantic ou de glam que tu ne connais pas ou qui n’a jamais explosé, c’est assez jouissif.
Andrew : De mon côté j’écoute des choses assez douces chez moi. Pas de la new age, mais pas loin. Des morceaux de la même période que celle dont parle Ben, mais des choses radicalement différentes, de l’ambient. J’écoute Woo, par exemple, deux frangins anglais qui font de la musique passionnante depuis les années 70. Voilà ce que je fais quand je veux m’évader du psychédélisme.
A propos d’évasion, Mark E. Smith de The Fall vient de nous quitter pour un monde qu’on espère meilleur. Ca a été quelqu’un d’important dans votre parcours ?
Ben : Franchement, pas directement non. Je respecte beaucoup sa musique même si j’ai finalement passé assez peu de temps avec. Le mec semble super cool, et sa contribution restera, c’est évident.
Andrew : Je suis aussi fasciné par son côté prolifique. La plupart de ce qu’il sortait était bon. Nous n’arriverons jamais à produire autant d’albums que lui. Il était très immédiat, très spontané. L’inverse de nous.
Au fait, à part Gainsbourg et Aznavour, vous connaissez un peu la musique française ?
Andrew : Rien de nouveau en tout cas, on ne connaît que vos classiques je pense. Qu’est ce qui est cool à écouter en ce moment ?
Franchement, j’en sais rien. Je finis par m’y perdre un peu et je ne saurais pas te donner un nom, là, tout de suite.
Ben : je crois que je comprends ce que tu ne veux pas dire. Comme musicien, j’ai beaucoup de mal à écouter de la musique et à ne pas être critique parce que je suis tout le temps dans l’analyse. On devrait savoir écouter de la musique sans se transformer en archéologues de la chose.
Andrew : Je ne sais plus si on vit dans un paradis ou un enfer. Donne moi une carte bleue, Toutube et Discogs, et je peux passer ma vie à acheter des disques. C’est d’ailleurs une de mes occupations préférées.
MGMT // Little Dark Age // Columbia
25 commentaires
Merci Albert Potiron pour ce bel entretien.
ça sent la baise…
JE N’AI JAMAIS COMPRIS LE BUZZ AUTOUR DE MGMT ,j’en ai rien a foutre du haut de panier de crabe mainstream des pseudos groupe indé .MGMT c’est de la merde en barre 78 carats ,Mr potiron creusé vous les méninge et parlez nous donc de groupe plus interresant et moins connu ,N’importe quel magazine ou webzine parlera de mgmt ,,c’est sans intérêt aucun ,on se croirais dans les rubriques musique de Elle ou de Grazia et autre presse au Feminin totalement insipide fashion et hype
Nesta12 : Au lieu de vous plaindre allez donc lire Elle ou Grazia, vous verrez c’est pas si mal. Les ayatollahs dans votre genre me les brisent hachées. Je fais ce que je veux, je suis chez moi. Si ça vous plaît pas, c’est le même tarif. Quand je parle de Jean Bouchety, de Pale Grey ou de CIA Debutante, je me creuse les méninges ou pas? Sérieux, ça devient pénible ces gens qui chouinent tout le temps du fond de leur canapé sans rien faire d’autre que de se caresser les roubignolles. Sors toi les doigts et écris. Propose. Fais. FAIS. Sinon juger un album à sa pochette, je dis bravo, c’est du grand art. Sans rancune, mais là, c’est pas le jour.
ayatollahs lol mdr c’est a des années lumières de ce que je suis ,j’aime aussi certain artiste plus grand public mais certainement pas MGmt ,la soupe de potiron mgmt est indigeste ,tous le monde va tartiné des tonnes sur Mgmt ,c’est sans interet aucun ,c’est d’un conformisme mou de parlé de ce genre de groupe
je juge pas le contenu a la pochette j’ai pris le temps d’ecouté ,je dis juste que l’artwork est aussi moche que celui de king size des the boo radleys ,et pour moi c’est un exploit de faire aussi moche
le petit potiron qui m’a bloqué sur facebook depuis des années et qui apprend quand 2014 et 2015 j’ai bossé pour cherry red et qui demande a une contact facebook de le reprendre en contact facebook ,évidement que je n’aime pas les leche cul et les leches bottes j’ai pas donné suite ,ecrire sur mgmt et consorts c’est trop facile ,c’est suivre le courant ,moi sa m’intéresse pas ce genre d’artiste c’est 80 pour cent de marketing pour 20 pour cent de musique ,j’ai toujours deteste toute cette clique molle et insipide de mgmt,arcade fire,the national et consorts nje n’ai jamais compris le buzz sur cette clique,ils sont hyper surestimé
Juste ferme-la. Tu soules tout le monde avec tes années 90.
aubert thuiller MR Gay tiens tjrs en vie ,j’aime les 90’s mais je trouve que l’on vie une epoque formidable il y a plein de petit label qui sorte des tuerires incroyable et ceux dans des styles de musiques tres different les un des autres ,il y a des supers albums qui sortent actuellement et je suis pas nostalgiques des 90’s ,
Super, et que vient faire ce « Mr GAY » au juste, ça a un rapport avec MGMT? Boulet va.
boulet de canon dans ta face de bobo hipster aubert la tuile
Con jusqu’au bout…
la pochette de l’album Congratulations des MGMT est la plus moche des années 2010 ,encore plus moche que la pochette de king size en 1998 des the boo radleys ,'(ce qui est un exploit),à la différence que king size est pour moi un grand album de la fin des 90’s, c’est mon album préféré de la bande a martin carr
nesta12@leclow!
t’a oublié le ‘hai »N »e’ é, baNaNa
« nesta12 », c’est un pseudo en hommage au grand défenseur transalpin ?
12 c’est pour le nombre de neurones.
robert nesta marley ou alessandro nesta c’est selon les jours ,mais bon moi je suis fan de as roma et mon idole en defence c’est phillipe mexes
Qui qui c’est qui la fé l’artwork de The Incredible String Band?
You want to learn more?
http://gonzai.com/lart-psychedelique-explique-par-marijke-koger/
nesta12 ou le fatberg, tu choisi ?
Je vais être relou, mais c’est plein de fautes de français cet article.
Une régalade de connerie ce cher petit Nesta12. J’ai bien ri.
Merci pour l’ITW. Pas leur meilleur album à mon sens mais ça a tout à fait sa place ici.
pour Nesta12 : Alexandre Perseverance, on t’a reconnu. Courage petit, toi aussi un jour tu auras un ami dans la vie. Bises. Et reprends moi sur Facebook quand tu veux, j’aime bien les gens cultivés et intelligents.
Mr potiron il y a que vous qui ne savez pas que nesta 12 et perseverancevinlyque c’est mon blog depuis 2011 ,je ne me suis jamais caché ,fini facebook pour moi ,le compte reste ouvert mais je le boycotte complètement ,je ne reponds plus aux sollicitations en mp ni ne reponds plus au message sur le mur . Facebook c’est fini pour moi ,et ne t’inquiete pas pour moi je suis un ATTACHIANT j’ai des vrai amis et ils me sont fidèle depuis 30 ans ,je ne suis pas un associable ,je suis d’un caractère volubile et donc tres bavard ,j’ai jamais eu de soucis pour avoir des potes et des amis
le nouveau baxter dury 2020 n’ai pas a la hauteur!