Certains le surnomment le dude, d’autres le parrain des branleurs ou simplement ThTh : 20 ans après la création du Syndicat du Hype (SDH), le squatteur de l’underground parisien continue contre vents et marées de distiller ses bons plans de crevard sur tous les réseaux pour tous les beautiful losers à la recherche d’un bon plan C (comme culture)..
A l’occasion de la sortie de son livre Mèmes pas mal aux éditions L, Thierry Théolier revient sur cette non-carrière à base de sac Leader Price, d’open bar et de contre-culture pour tous. Pour s’inscrire sur le SDH, c’est par là.
brànlé couillé pseudo brànchouillé màis àlcolo ét càmé qui sé prénds pour ALAIN PACADIS ét consorts àlors qué c’ést un Untermensch ,un cloporte nuisible ,il fàut l’énvoyé à poil ét sàns àrmé cétté hivér dàns lé dombàss én 1ér ligné pour qui sé fasse bouffé tous cru pàr un ruskof dé l’ouràl genre pàr un bon barbare dé l’ Oblast de Sverdlovsk ,béstér tous ses mécs insignifiant sà là’ir dé té fàiré gràvé bàndé dur
This is brilliant. Simple and to the point.
y’a aussi les boring siestas d’avignon girlyes avec guitares en carton un ghtto blasher et du vomi sur leurs tees.
l’ai crois& au wild classical musikque ensemble sur la peine niche pas intereesant faux bourré/bourru . y fait penser a persévérance le conno postier de l’est
sonneperre jé t’ài réconnu ,tu sàis bién qué dépuis 20 àns j’ài fuis là posté ét pàr là mémé l’ést ,
a persévérance ést à dés années lumières dé sé baltringues , sonneperre a persévérance tu lé connàis pàs pour sur jàmàis croisé dé tà vié
sisisis il fait tomber les disques de sa mobylette