Si vous faites parti du club très fermé des adorateurs de Jean-Luc, la star du Mans, vous avez déjà certainement lu avec intérêt notre portrait du bonhomme qui ne chantait pas toujours juste. Deux ans plus tard, Gontard, autre figure souterraine de la France qui se lève tôt, a décidé de déclarer sa flamme au Daniel Johnston destroy. Extrait :
« Depuis le début des années 90, je suis attiré par les mavericks à l’opulence discographique, la plupart d’entre eux sont ricains (Lou Barlow, Daniel Johnston, Robert Pollard, Stephin Merritt), lointains (Robert Forster, Chris Knox), voire britanniques (Momus, Aidan Moffat). Et dans le même temps, quoi de plus touchant que le malaise français en direct, des mots simples, les névroses intimes du voisin de palier ? Jean-Luc Le Ténia, c’était tout ça ».
Et c’est en écoute juste en dessous, pas vraiment en exclu mais un peu quand même, puisque jusqu’à preuve du contraire, tout le monde s’en fout.
3 commentaires
« »1 JETON NORMAL » »
Grande gravité.
Je suis la preuve du contraire.