Depuis les évènements du 13 novembre et la série suspecte des morts de célébrités, de nombreuses rumeurs circulent. Les terroristes sont-ils avant tout des gens qui ont mauvais goût en musique ? Est-ce que le Djihad rend sourd ? Et surtout, à la lumière des informations découvertes récemment, quels sont les véritables liens entre Daesh et la mort de David Bowie ?

L’émotion planétaire parmi les trentenaires ayant un compte Facebook soulevée par la mort soudaine de David Bowie masque une réalité plus sombre. Des documents américains transmis par Edward Snowden ont en effet permis de découvrir les liens complexes qui lient David Bowie et le groupe Daesh.

  •  Un cousin d’Abou Mohammed al-Adnani, porte-parole de l’Etat Islamiste aurait été en 1982, le second clavier du groupe de Pop Wave High Infidelity. Pour David McRumfled, alors en poste à Damas, la tournée 1984 du groupe dans les pays du moyen-orient aurait été une simple couverture pour l’établissement d’un réseau de financement souterrain du terrorisme au service de la politique contre-insurrectionnel du gouvernement américain. Le relais aurait ensuite été pris par le Label World de Peter Gabriel, avec le succès que l’on connaît.
  • Une grande partie de la drogue consommée par David Bowie durant sa carrière proviendrait d’un laboratoire Afghan, créé à la fin des années 70 par plusieurs hippies convertis à l’islam. Ce laboratoire mythique désigné sous le nom de code The Farm, aurait fourni en drogue la plupart des producteurs de l’époque. Quoique jamais confirmé, les liens ce Richard Branson avec la Ferme serait à la fois à l’origine de sa fortune et de sa compagnie aérienne qui fut la première a mettre en place une ligne régulière Kaboul-Londres, cinq ans avant que les services secrets français tentent d’imposer la fameuse ligne New-York-Kaboul (voir à ce sujet la récente interview de Renaud dans Paris match).
  • Dès le départ, David Bowie aurait été personnellement impliqué dans ce dispositif pervers où se mélangent impérialisme américain et islamisme radical. Rebel rebel, We can be hero, Rock’n’roll suicide, seraient autant d’appels au martyr et au djihad, tous signés par l’artiste. Pour preuve, tous ces morceaux ont été retrouvés sur l’ipod d’Oussama Ben Laden. Les morceaux se trouvaient dans une playlist intitulé El Fatih, nom de code qui revient régulièrement sur les mixtapes de Daesh.

Bowie
C’est cette information récemment déclassifiée qui éclaire sous un nouveau jour la mort d’un David Bowie pourtant dans la force de l’âge. Doit-on accorder crédit à ce critique musical irakien qui affirmait la semaine dernière avoir croisé Bowie dans un studio d’enregistrement au Nord de Bagdad ? Le chanteur anglais aurait-il orchestré sa disparition comme le suggère certains analystes géopolitiques ? Bowie aurait-il endossé son dernier personnage, celle du chanteur djihadiste Kadder Al Mustaphar El Fatih, prêcheur musulman ultra-radical mixant des boucles de trip-hop avec de longues psalmodies appelant à la guerre Sainte ?

Pour la plupart des fans du chanteur anglais, cette hypothèse reste difficile à envisager, même si l’on évoque qu’il s’agirait d’une manœuvre orchestrée par les services secrets anglais. L’enquête en tout cas est loin d’être close, ses ramifications s’étant étendues à une filière Belge particulièrement active. Salah Abdeslam, que le milieu du Djihad surnomme déjà Grand Connard Malade, aurait eu en sa possession plusieurs 33 tours collector du single Allumer le feu de Johnny Hallyday. On raconte dans les milieux autorisés que le chanteur de variété franco-belge aurait déjà fait don de plusieurs caisses de disques et de figurines de lui-même destinés à être accrochés au rétroviseur et ce, toujours selon ces mêmes sources, afin de financer la guerre sainte.

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