GÉRARD LAUZIER
Splendeur et misère d’un séducteur

Dans les années soixante dix et jusqu’au milieu des années quatre vingt, le dessinateur racontait dans ses albums les affres du cadre sup’ confronté à la modernisation technocratique et à la revanche des femmes. Il dézinguait aussi bien le culte du fric que les gauchistes en carton passés du col Mao au Rotary Club. Cinq ans après sa disparition, ses « Tranches de Vie » vont ressortir en intégrale chez Dargaud. Cela tombe bien, rien n’a changé.