Qu’est-ce que l’on peut dire à propos du dernier album de Jamie Lidell, à part ne va pas révolutionner l’industrie pop ? En tout cas, une chose est sûre :…
La carrière de Coolio est semblable à un iceberg dont la partie émergée n’aura été percutée que par la micro-génération 80-81, celle qui était en classe de troisième lorsque sorti “Gangsta’s Paradise”, et dont le passage en boucle allait infester à tout jamais les oreilles immatures. Pour les plus anciens il ne s’agissait que d’une reprise de Stevie Wonder, pour les générations suivantes ça sera simplement un titre d’Eminem.