40 ans après, le « Oceanheart » d’Harald Grosskopf est toujours un putain de disque de jogging pour les robots

1984. Alors que Bruce Springsteen publie son “Born in the USA” et qu’une partie du monde occidental semble découvrir les bienfaits du fitness grâce à Véronique, Davina et Bernard Tapie, un Allemand à lunettes s’apprête à se prendre les pieds dedans avec son deuxième album, « Oceanheart ». Quatre décennies plus tard, sa réédition chez Bureau B permet de mesurer à quel point il courrait trop vite pour son époque.
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