Depuis 24 ans, planqué dans une petite ruelle de Lyon, le disquaire Dangerhouse tente d'éduquer la masse en matière de musiques à guitare. Des premières éditions des Stooges jusqu'aux nouvelles sorties incroyables du moment tel que Foxygen, Bruno Dangerhouse n'a pas pris une ride, et surtout ne lâche pas le morceau : La musique indépendante est bien vivante, et sur son support le plus noble : le vinyle.

Le jour de l’enregistrement, il est venu accompagné et avec des bières pour l’équipe. Il s’est assis dans le studio, playlist à la main et disques sous le bras. Habituellement à l’autre bout du combiné lors des émissions Rock à la Casbah, Bruno Dangerhouse est aujourd’hui venu fêter sa 150ème chronique dans les studios. C’est toujours le verbe très juste et l’expression très inspiré que Bruno prends la parole pour parler des disques qui le touchent. On parle d’albums « très fuzz 63 ‘ », de guitare « sixties mais avec une bonne couche revival 70s » mais aussi de l’histoire d’une boutique où tout le monde vient s’abreuver de galettes à plaisir. Un rendez vous bien important donc, avec cet animateur de l’ombre, le cinquième Beatles de Rock à la Casbah.

http://www.dangerhouse.fr/

2 commentaires

  1. Grand disquaire. Une sorte de perfection. C’était un îlot dans les années 80 lyonnaises. Ca l’est resté visiblement; grande nouvelle.

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