De mémoire – et puisque les temps ont bien changé depuis – il restait quelques questions à poser. Seulement voilà : l’homme n’était pas facile à avoir. Déjà, Claude Vorilhon (son vrai nom) vit au Japon. Ensuite, à force de reportages infiltrés – souvent pin-pon, toujours mauvais – il était normal que les Raëliens en aient marre de passer dans les gazettes pour un gang de maboules impies. Et pourtant.
Pourtant notre journaliste a réussi au bout de plusieurs mois à interviewer l’homme derrière le « clone ». Elle est également parti à la rencontre des Raëliens et a pu témoigné de toutes les actions du mouvement, aujourd’hui, à travers le monde. Dans son enquête, parue vendredi dernier dans Gonzaï n°15 en kiosque, vous pourrez découvrir :
Pourtant notre journaliste a réussi au bout de plusieurs mois à interviewer l’homme derrière le « clone ». Elle est également parti à la rencontre des Raëliens et a pu témoigné de toutes les actions du mouvement, aujourd’hui, à travers le monde. Dans son enquête, parue vendredi dernier dans Gonzaï n°15 en kiosque, vous pourrez découvrir :
– Le minimum de cotisations raëliennes
– Les cliniques de l’amour en Afrique
– Le Paradisme (et comment sauver l’humanité et régler en quelques minutes le problème de Fukushima)
– Arnaud Fleurent-Didier, Michel Houellebecq et Dieudonné chez les Raëliens
– Ce que le Ministère de l’Intérieur statue à propos de cette « secte »
– Est-ce que Raël aime le rap ?
À cette dernière question la réponse est non. Il trouve ça trop grossier, comme beaucoup d’arts contemporains. Et ça n’est pas un peu réactionnaire ça Claude, de refuser le contemporain ? Réponse du Maitreya : « Quand on est réactionnaire à une dégradation, on est révolutionnaire ».
Alors, prêts pour la Raëlvolution ?
RDV dans Gonzaï n°15.
En vente partout pour 6,66€ et ici.
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8 commentaires
Premier numéro que je ne vais pas acheter…Je m’abonne à Fakir. Ciao !
Clivage en vue avec le proxo des étoiles, être aux abois justifie n’importe quoi mais pas n’importe qui.
Coucou les lapins, merci pour l’interactivité et le retour client. Un simple truc : je vous trouve un peu duraille, la cover story Rael c’est 18 pages sur 100 et le reste du sommaire est certainement l’un des plus compacts qu’on n’ait jamais pondu; l’un des plus musicales aussi. Je vous dis tout cela par malhonnêteté évidemment, dans le secret espoir de vous faire changer d’avis car comme vous le savez, nous ne faisons tout cela que pour gagner un max et pognon et viser l’ISF vers 2020. Je vous embrasse.
18 pages sur Rael (on compte la couv’ ?), c’est 18 de trop, le lapin est trop gros pour le chapeau. Voir Pareto et le 80/20, dommage pour le reste du sommaire 🙁
Raël ? ennui debout…
Intéressant ce choix, messieurs les commentateurs, de ne pas mentionner un papier de fond (en comble) sur les monstrueux DAF, et la perspective de vivre un moment de la vie de Nicolas Ker. Comme quoi les couvertures, comme dirait Robial, ne sont faites que pour émerger au milieu d’autres plus merdiques…
Pas facile d’apporter des idées nouvelles ^^ Mieux vaut ne rien dire pour ne pas être critiqué ? Mais si on ne dit jamais rien, comment nous sortir de notre moyen age intellectuel actuel ?
Parce que tant que l’on ne vivra pas dans un paradis sur terre, en vivant tous de manière équilibrée AVEC nos différences, ne nous leurrons pas, c’est que nous somme une humanité d’abrutis !
‘tain mais vous êtes vraiment Gonzo en vrai, en fait? Respect