Radio Gonzaï, première émission, deuxième partie. Au depart, il y avait une playlist écrite au propre, scrupuleusement respectée pendant les 40 premières minutes. Et puis…
– Ok pour ton Lou Reed mais je passe un Dylan. Et un extrait de Slow train coming !
– Comment peux-tu ?
– On vire les derniers titres, il faut du disco à un moment ou à un autre !
– Je te laisse faire si on termine sur un Chilton.
Aux orties, la playlist ! On pousse les meubles, on négocie dans une ambiance qui doit autant à l’ONU qu’aux Grosse têtes. Boutros Boutros Bouvard ! Voici les pièces à conviction, tout a été enregistré comme dans le salon des Bettencourt. Paraîtrait même qu’ils ont remis ça quelques semaines plus tard…
Emission disponible sur SoundCloud et téléchargeable via Itunes en cliquant ici pour s’abonner au podcast Gonzaï.
Radio Gonzai #2: Emission du 9 mai 2011 by Gonzai
Setlist de l’émission:
LOU REED : Dirt
BOB DYLAN : You Gotta serve Somebody
OH LA LA : Tomorrow
LUSH : Outdoor Miner
APRIL MARCH : Necropolis
SHARON TANDY: You’ve got to belive It
CHRIS FARLOWE : What becomes of the broken Hearted
ESTER PHILLIPS : Home is Where The Hatred is
PEOPLE CHOICE : Moving in all Directions
ALEX CHILTON : Don’t worry Baby
…
Étrange comme l’avancé de la nuit nous fait tomber dans le sentimentalisme et les voix féminines
…
La prochaine fois, si vous espacez encore un peu plus les premières des deuxièmes parties d’émission, l’attente sera impossible!
Seule cette bataille compte,
ro
Les mecs : suis en train de vous écouter. Mais surtout, puisque seul le détail compte, moi je trouve que ce serait mieux de filer la set list un peu APRES, genre comme ça je sais pas ce que je vais écouter, l’entretien du mystère, quouahhh. Sans faire de mauvais jeu de mot, je vous préfère sans bande-annonce.
Ah je crois que Vernon marque un point, là. Fort juste, on y pensera. Thanks.
Steve Gadd ne joue pas sur ce disque, ni sur aucun Esther Philips d’ailleurs, qui a tendance a lui préférer une section rythmique dont elle a l’habitude (en l’occurrence, Purdie dm – Edwards b) . . . Pour information, l’original de ce morceau est de Gil Scott-Heron et c’est encore la le père Purdie qui s’y colle.
Je suppose que nous avons tous notre conception du détail. . .
…
Bravo Jewis Princess, c’est une chanson de Gill Scott Heron avec Bernard Purdie à la batterie.
Par contre, vous avez perdu : Steeve Gadd a belle et bien joué sur des albums d’ESther Philips comme « Capricorn Princess ».
Seul le détail… et bla bla bla
…
Ah merde « You Gotta serve Somebody » c’est bon, point à la ligne. C’est redoutable, et c’est loin du Dylan folkeux que l’on nous sert sans cesse, c’est de la putain de soul. Tiens en comparaison je trouve Lou Reed approximatif …
quitte à avoir des goûts de merde en ce qui concerne Dylan ( et je sais de quoi je parle) autant se retourner sur the groom is waiting at the altar sur shot of love ou Lenny Bruce.
De toute manière tout album avec l’autre taiseux avec son bandana pourri devrait être passé au pilori en guise de châtiment pour avoir honteusement re servi le son du gyspy man de JJ cale en plus beauf
Dylan born again mon cul, ce n’est pas ignoble mais faut pas non plus en faire un chef d’oeuvre, à ce moment là Senor sur street legal mérite une statue
En fait je m’en carre l’oignon de Dylan, mais cette chanson est redoutablement efficace merde. Cette batterie propre, cette basse lourde et saccadée, parsemé d’accord d’orgue, cette voix inhabituelle (chez Dylan) et entrainante (pour une fois).
Ah ah horreur, provocation ultime, si ça se trouve c’est la prod. de Mark Knofleur qui me plait le plus.
Ah ah
http://www.youtube.com/watch?v=h0ffIJ7ZO4U&feature=related
Je serais assez de l’avis de Serlach. Tant qu’à faire, je choisis Foot of pride par exemple.
Seulement Capricorn Princess, et un seul morceau il me semble . . . comme Allan Hoddsworth, ce qui me fait dire que cet album n’est pas vraiment un disque d’Esther Philips en fait.
Je ‘ai pas encore d’émission de radio . . . mais je pense bien avoir regarde les crédits des albums d’Esther Philips alors que tu suçais encore ton pouce.
…
C’était donc toi !
…
grâce à vous tous, je crois désormais aux forces de l’au delà…
merci