Souvenir ému du prisonnier coincé entre l’alcool et la solitude, les questionnements tournant dans la chambre comme autant de possibles mort-nés… Fallait-il pleurer à deux au bout du fil ou rester seul dans la pudeur des larmes amères avalées avec la rage des naufragés ? Ou bien regarder le disque tourner et se rouler au sol de douleur, crier dans sa tête sur la voix des autres ? Pour survivre, on s’est drapé du noir de quelques grands musiciens qui pansent la plaie par l’acide. Et cette semaine, vous l’avez compris, Radio Gonzaï est la sonde des humeurs sombres. La trêve hivernale n’a rien d’un armistice. Alors, ruptures, mort, Dieu et mauvais temps… On y va.
15 novembre 2011
Ah ben voilà on vous retrouve les amis, elle est bien bonne celle là
première fois que j’écoute votre émission, c’est du très beau boulot ! (j’en suis qu’au début mais je valide déjà)
Il ya quelques belles trouvailles, je connaissais pas du tout Alan Vega, merci !
Elvis, vous êtes le bienvenu (j’ai toujours rêvé de dire cette phrase).