Les références de Paul Winslow ? Gary Usher, Harry Nilsson, Todd Rundgren, ou encore Brian Eno. Rien que ça.
Après avoir fait ses armes dans le hip hop, la musique à l’image ou autres commandes, le parisien touche à tout se lança l’année dernière dans l’écriture de son grand œuvre pop. Un album longue distance entièrement composé dans le home studio montmartrois de ce multi-instrumentiste dandy qui révèle une écriture digne de l’âge d’or des 60’s alliée aux meilleures sonorités de l’histoire de la pop moderne.
Acclamé à sa sortie digitale par les curieux et les puristes, “Tears behind the stars” navigue entre mélodies 60’s de type Beach Boys ou Kinks, et sonorités plus electro-progressives ou planantes des années 70. Plus qu’un acte de naissance, un disque aux multiples facettes. Quelques mois après une sortie en catimini sur l’infernal internet, il était urgent de vous faire écouter ce premier album qui, à l’image de la pochette, possède un futur prometteur.
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